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Le silence des autorités sur la fin de la transition au Mali suscite de vives réactions



 

Une tension palpable émane des partis politiques maliens alors que le silence entourant le chronogramme électoral de la Transition reste assourdissant. Parmi ceux qui se sont fait entendre, des voix influentes telles que le Parti Africain pour la Solidarité et la Justice (PASJ), le Rassemblement pour le Mali (RPM), le PARENA (Parti pour la Renaissance Nationale), le Parti pour le Développement Économique et la Solidarité (PDES), Yelema (Changement), et le Mouvement du 5 Juin Rassemblement des Forces Patriotiques (M5-RFP Mali-Kura) expriment leur mécontentement et appellent à l’action.

Ces partis politiques, dont l’Adema PASJ et le PARENA, exigent des autorités une collaboration consensuelle pour établir un calendrier électoral clair, garant d’un retour à l’ordre constitutionnel par le biais d’élections transparentes et crédibles. Ils insistent également sur la nécessité de restaurer la confiance et l’unité nationale, de libérer les prisonniers politiques et de permettre le retour des exilés.

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Le Parti pour le Développement Économique et la Solidarité (PDES) exprime son inquiétude face au manque de clarté de la trajectoire de la transition et appelle instamment les autorités à sortir du silence et à agir en faveur d’un retour à l’ordre constitutionnel normal.

Dans une démarche similaire, le Rassemblement Pour le Mali (RPM) met en garde le Président de la Transition contre l’urgence de mettre en place un nouveau mécanisme transitionnel pour restaurer l’ordre constitutionnel dans un délai de six mois.

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De même, le M5 RPF Mali-Kura et YELEMA soulignent la déception quant au non-respect des engagements pris par le président de la transition et son gouvernement concernant l’organisation d’élections crédibles.

Face à cette impasse politique, ces partis appellent le peuple malien à se mobiliser pour défendre les principes démocratiques et la bonne gouvernance, garants d’un Mali progressiste et juste.

La transition au Mali, débutée après un coup d’État en 2020, a été fixée à une durée de 24 mois. Cependant, les récents développements politiques laissent présager une incertitude quant à la stabilité future du pays. La situation reste tendue, et seule une action rapide des autorités pour répondre aux demandes des partis politiques pourrait apaiser les tensions et garantir un processus démocratique juste et transparent pour l’avenir du Mali.

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