Nicki Minaj fait face à une poursuite pour violation du droit d’auteur
Dans une récente affaire juridique qui secoue l’industrie musicale, la célèbre rappeuse américaine Nicki Minaj se retrouve au cœur d’une poursuite pour violation du droit d’auteur. Le musicien Julius Johnson accuse la star d’avoir prétendument plagié un rythme dans sa chanson « I Lied », sortie en 2014.
Nicki Minaj accusée de plagiat par le musicien Julius Johnson
Selon les documents déposés auprès de la Cour californienne, Johnson affirme que sa chanson a été publiée sur la plateforme YouTube en 2011, soit trois ans avant la sortie de « I Lied » sur l’album de Nicki Minaj intitulé « The Pinkprint ».
Il prétend que le rythme de sa composition a été enregistré sur un disque dur qui aurait été retiré d’une session de studio sans son consentement en 2013, alors qu’il étudiait à l’Art Institute d’Atlanta.
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Johnson soutient également que des individus associés à Nicki et Mike Will Made It ont eu accès au studio de l’institut à cette époque, suggérant ainsi qu’ils auraient pu avoir accès à son disque dur. Cependant, une source proche de la rappeuse a affirmé à TMZ que la rappeuse n’était en aucun cas impliquée dans la sélection du rythme en question.
Selon cette source, étant principalement parolière, Nicki Minaj se distancie de la question de la production et laisse aux parties concernées le soin de résoudre le différend.
Les similitudes frappantes entre les chansons « onmysleeve » et « I Lied » au cœur de la plainte
La plainte déposée soutient que les chansons « onmysleeve » et « I Lied » présentent des similitudes marquées au niveau de leur instrumentation et de leur rythme sous-jacent. Elles utiliseraient notamment le même arrangement instrumental, le même tempo, les mêmes battements par minute et la même tonalité.
Pour l’instant, Nicki Minaj n’a pas encore réagi publiquement à cette affaire, bien qu’elle fasse déjà l’objet d’une pétition lancée par les résidents de son nouveau quartier huppé de Hidden Hills, en raison de son mari. Cette nouvelle accusation de violation du droit d’auteur risque d’ajouter à la pression médiatique entourant la rappeuse.