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Le journaliste est-il aimé dans la société camerounaise ?



Le journaliste, qu’il soit d’un média public ou privé, est considéré comme la principale sentinelle ou l’éclaireur de la société. Il se bat, contre vents et marrées, afin de sensibiliser et/ou informer les populations, sans distinction de chapelle politique ou religieuse. Allez donc savoir dans quelles conditions, il se déploie au quotidien, pour recueillir des informations, puis rédiger des articles ou publier des reportages (écrits, audio, photo ou vidéo), en consultant les dépêches des agences de presse et en interrogeant des spécialistes ou des témoins.

Il est noté, pour le déplorer, que les dirigeants de certains Etats, pour ne pas les nommer, ont opté pour l’aide à tête chercheuse, afin d’asphyxier les médias privés. Malgré cela, les journalistes ne se découragent pas. Sans tenir compte des différents aspects, que présente son métier, le journaliste peut travailler sur des sujets généraux ou se spécialiser dans certaines questions. Les journalistes enquêtant sur les questions environnementales sont les plus menacés, après la couverture des zones de guerre.

Dans beaucoup de pays au monde, il est fortement demandé au journaliste d’avoir conscience de ses responsabilités sociales et politiques vis-à-vis de la société, de posséder une pensée logique et analytique, de disposer de créativité ainsi que d’avoir le sens des contacts humains. Cependant, les journalistes polyvalents tendent à devenir de moins en moins nombreux. Des connaissances techniques sont de plus en plus souvent nécessaires, quand elles ne sont pas exigées, en raison de la complexité croissante des sujets traités.

« Le journaliste joue un rôle très important dans la société, car, à ses risques et périls, et même considéré comme un « caillou » dans la chaussure du gouvernant, il permet aux habitants du Sud de savoir ce qui se passe au Nord. Il attire également l’attention des gouvernants, dans leur façon de gérer les affaires du pays. Mais que constate-t-on dans certains pays dits « démocratiques » ou de « démocratie tellement avancée »? Le journaliste, s’il travaille pour le compte d’un média à capitaux privés, vit dans la précarité, a des difficultés pour accéder aux sources d’informations et aux soins médicaux, n’a aucune allocation familiale, n’est pas affilié à la Caisse de prévoyance sociale, subit des brimades, est souvent traduit devant les tribunaux militaires, emprisonné ou assassiné », déclare un journaliste à la retraite.

« Ce n’est vraiment pas facile d’exercer le métier de journaliste dans nos pays. Le 4ème pouvoir dont on parle n’est que de nom chez nous. J’émets le vœu que la journée de la liberté de la presse ne soit pas un slogan, mais une réalité !», a-t-il conclu.

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