Gaëlle Taglao, une influenceuse et web humoriste ivoirienne bien connue, a récemment partagé son périple à travers une intervention de Brazilian Butt Lift (BBL). Son récit apporte un aperçu perspicace des réalités de la chirurgie esthétique et des choix qui l’ont menée jusqu’à cette décision.

Avant de se lancer dans l’intervention chirurgicale, Gaëlle a eu l’occasion de discuter avec son chirurgien. Ce dernier a tracé les zones à retoucher sur son corps et a pris le temps de lui expliquer les risques potentiels de l’opération, tout en prenant en compte ses préférences personnelles. Malgré les doutes qui auraient pu la faire reculer, elle est restée concentrée sur son objectif, ayant investi dans un billet d’avion pour voyager à l’étranger afin de réaliser cette procédure.

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L’expérience de Gaëlle Taglao : Le Brazilian Butt Lift (BBL)

Le désir de Gaëlle était de sculpter son ventre large et proéminent pour obtenir une taille fine et des hanches plus marquées, un objectif qu’elle avait en tête depuis longtemps. Pendant l’opération, elle a pris une décision importante : demander que la graisse retirée de son corps soit réinjectée dans ses hanches, refusant de laisser cette graisse dans un autre pays.

L’intervention elle-même s’est déroulée sous anesthésie générale, et Gaëlle Taglao n’a eu aucune idée du déroulement de l’opération, étant inconsciente en raison de l’anesthésie. Cependant, le réveil n’a pas été sans douleur. Elle a souffert de douleurs intenses et d’un gonflement, ce qui a rendu son sommeil difficile. Même pendant son vol de retour au pays, elle a dû s’auto-administrer des injections pour soulager la douleur.

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Malheureusement, son retour à Abidjan a été marqué par des complications graves. Gaëlle a frôlé la mort en raison d’une anémie causée par la perte importante de sang pendant l’opération. Pour gérer ces complications, elle a dû se rendre dans une clinique pour des soins médicaux urgents.

En regardant en arrière sur son expérience, Gaëlle Taglao regrette le manque d’informations préopératoires concernant les médicaments post-opératoires, qui se sont avérés coûteux et ont ajouté un fardeau financier supplémentaire après l’intervention chirurgicale.