Lors d’une récente apparition dans l’émission Carrefour Weekend, la chanteuse et personnalité médiatique ivoirienne Eudoxie Yao a fait une révélation surprenante : elle a reçu un jour un cachet de 10 millions de FCFA pour une prestation en dehors de la Côte d’Ivoire.

Yao, qui est également connue comme l’ex-fiancée du chanteur guinéen Grand P, a fait face à des critiques concernant ses capacités de chanteuse, ses détracteurs la qualifiant souvent de sans talent en raison de ses performances vocales.

Eudoxie Yao défend son talent

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Au cours de l’émission, Yao a été confrontée à un invité qui lui a suggéré de demander de l’aide à ses collègues artistes pour améliorer ses talents de chanteuse. Cette suggestion a semblé irriter la star, ce qui l’a incitée à défendre vigoureusement ses capacités.

« Je sais chanter », a-t-elle affirmé. « Vous ai-je dit que je ne savais pas chanter ? Même si c’était le cas, je n’irais pas apprendre à chanter auprès de mes collègues artistes. Néanmoins, je peux approcher des chanteurs professionnels pour améliorer mes compétences, mais pas mes collègues artistes. »

Répondre aux critiques

La participation d’Eudoxie Yao à l’émission intervient alors que sa carrière de chanteuse fait l’objet de nombreuses critiques. Malgré ces critiques, elle reste confiante en ses talents et souligne qu’elle est fréquemment invitée à se produire lors de spectacles en Côte d’Ivoire et dans d’autres pays africains.

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« En tout cas, je suis sollicitée comme tout le monde pour des spectacles ici en Côte d’Ivoire et même dans d’autres pays africains. Je suis souvent payée jusqu’à 10 millions. Mes spectacles sont à couper le souffle », a-t-elle déclaré, renforçant ainsi ses précédentes déclarations sur sa carrière de chanteuse.

Précédemment, dans l’émission Showbuzz de NCI, Yao avait souligné le contraste entre les revenus qu’elle tirait de ses spectacles locaux et ceux qu’elle tirait de ses spectacles internationaux. Elle a fait remarquer que ses événements et ses concerts font souvent salle comble, en particulier en dehors de la Côte d’Ivoire, où elle est beaucoup mieux rémunérée.

« Les événements et les concerts que je fais sont toujours complets. Je les fais très souvent à l’extérieur du pays. Parce qu’en Côte d’Ivoire, ici, quand on t’invite pour un spectacle ou un événement, ce qu’on t’offre est un peu trop petit. À l’étranger, on me paie trop bien. Mais ici, on ne paie pas bien. Les gens aiment la gratuité. Quand tu leur proposes au moins 3 millions, ils te proposent 500 000 FCFA », explique-t-elle.