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Est-ce que les femmes “bandent” aussi en dormant ? Réponse à la question que beaucoup d’hommes se posent



L’excitation nocturne masculine et ses manifestations, on connaît. Mais qu’en est-il des femmes ? le clit0ris, moins « ostentatoire » qu’un pén1s, se transforme-t-il aussi sous l’influence des rêves érotiques.

Que fait-on en dormant, et quels sont les comportements selon que l’on est homme ou femme ? On sait que les barrières que nous nous imposons tombent pendant le sommeil et que le rêve comble nos frustrations et nos attentes. On sait aussi depuis les années 1960 que les hommes ont des érections pendant la phase du sommeil paradoxal (précisément le moment où l’on rêve). Mais que font les femmes dans les bras de Morphée ?

Depuis que des scientifiques ont fait ces découvertes sur le comportement masculin, ils ont cherché à savoir quel était celui des femmes. Le clitoris est-il également réactif pendant cette phase du sommeil ? La température des organes génitaux est-elle différente ? Qu’est-ce qui change ? Hélas, la partie visible du clitoris étant de petite taille, longtemps, les recherches n’ont porté aucun fruit. Il y une vingtaine d’années, la recherche s’est finalement orientée vers la circulation sanguine. C’est en effet essentiellement un relâchement des muscles permettant un afflux sanguin dans le corps caverneux du pénis qui permet la rigidité et l’allongement de celui-ci. Il apparut donc logique de chercher si les femmes, elles-aussi, « bandent » en dormant. bandent

Or, il se trouve qu’il y a bien un afflux sanguin semblable à ce qu’il se passe lorsqu’une femme est excitée. Ce changement nocturne varie selon les nuits et les femmes ; il peut être à peine perceptible, comme il peut être aussi intense qu’en regardant des films adultes. Comme les hommes, les femmes peuvent aussi avoir un orgasme en dormant, à la suite de rêves érotiques, qu’elles soient, ou non, en mesure de s’en souvenir. Une des explications à cela, serait – pour les hommes comme pour les femmes – que ces rêves, accompagnés d’excitations allant parfois jusqu’à la jouissance, sont une façon pour le corps d’entretenir le tissu des organes génitaux, en apportant l’oxygène nécessaire au travers de cet afflux sanguin.

Si le clitoris est très semblable au pénis dans sa forme, si son érection est due au même relâchement des muscles, ouvrant la voie à un engorgement identique suivi d’un accroissement de sa sensibilité, il a deux fois plus de terminaisons nerveuses que le pénis (6 000). On sait aussi, depuis que la gynécologue française Odile Buisson a fait des échographies du clitoris pendant l’acte sexuel, qu’il change de forme au moment de la pénétration : d’un côté il se rapproche du haut du vagin, et de l’autre la fourche se compresse à la suite du va-et-vient et du changement de forme du vagin pendant la pénétration. Contrairement à ce qu’il était coutume de penser jusqu’à la parution de son étude, le clitoris est plus actif pendant la pénétration que lors de masturbations clitoridiennes, car lors de ces dernières, la structure interne ne change pas de forme, à moins bien sûr qu’il y ait également pénétration (doigts, sextoy …).

Le clitoris est donc étonnamment semblable au pénis, dans sa structure, dans son fonctionnement diurne et nocturne, au point que même pendant l’acte, il est un moteur essentiel de la jouissance féminine, que la partie externe soit ou non stimulée manuellement. Cela rejoint sans doute ce que disait l’anthropologue Claude Lévi-Strauss « partout dans le monde où l’on pratique l’excision et la circoncision (et souvent ces coutumes vont de pair), les raisons sous-jacentes semblent être les mêmes : en instaurant la distinction des sexes, le Créateur a mal rempli son office : trop pressé, négligent ou dérangé dans son travail, il a laissé chez la femme une trace de masculinité, une trace de féminité chez l’homme. L’ablation du clitoris, celle du prépuce ont pour effet de parachever l’ouvrage en débarrassant chaque sexe d’une impureté résiduelle et en les rendant tous deux conformes à leur nature respective ». bandent

Ainsi, depuis l’aube de nos civilisations, les hommes, inquiets, n’ont cessé de forger la différenciation des sexes. Mais, dans le sommeil au moins, le naturel revient au galop

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