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Cherté des moutons à la veille de l’Aïd Al-Adha, les Marocains dans le désarroi



Dans moins deux semaines, les musulmans du monde célébreront la fête de l’Aïd Al-Adha qui commémore la force de la foi d’Ibrahim à son Dieu. Chaque croyant adulte devrait alors immoler un animal, de préférence un bélier. Sauf que les Marocains doivent débourser deux fois plus qu’en 2020, pour acheter le mouton. Dans les marchés, vendeurs et acheteurs parviennent difficilement à s’entendre.

L’Aïd Al-Adha s’approche à grand pas, mais s’annonce déjà très difficile pour de nombreux foyers au Maroc. Les chefs de famille en pleine prospection sur le marché du mouton, à moins de deux semaines de cette grande fête de la communauté musulmane, ne savent plus à quel saint se vouer. Les prix des béliers se sont envolés et la surenchère est loin de connaître son épilogue. Même dans les marchés situés dans les régions connues pour la qualité de leur élevage, les prix sont au-dessus de la moyenne.

À El Brouj et Guisser, près de Settat, des zones connues pour l’élevage de la race de moutons la plus prisée par les Marocains, les éleveurs et les intermédiaires s’y sont déjà installés, espérant faire de bonnes affaires, rapporte Assabah. Les vendeurs assurent que cette année, les troupeaux mis en vente sont moins importants que ceux de l’année dernière. Et c’est ce qui expliquerait la hausse vertigineuse des prix. Ils arrivent difficilement à convaincre les acheteurs qui viennent de tout le pays, à la recherche du mouton de qualité et à bon prix.

Cette année 5,8 millions de bêtes ont été identifiées dans le cadre de l’opération lancée chaque année par les pouvoirs publics pour assurer une certaine traçabilité des animaux. La hausse des prix est également justifiée par la cherté du prix des aliments pour le bétail. Le Maroc a connu deux années de sécheresse, ce qui a provoqué la rareté de l’alimentation de qualité pour les troupeaux.

Cependant, les Marocains espèrent voir les prix baisser dans les jours à venir, afin de leur permettre de sacrifier à cette tradition dans la possibilité de leurs moyens. Mais, les vendeurs et éleveurs ne sont pas certains que la situation s’améliore en termes de prix d’achat des béliers, bien au contraire. Ce qui priverait probablement beaucoup de familles de célébrer convenablement cette fête de l’Aïd Al-Adha.

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