Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
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Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
Une opération d’espionnage basée sur des clones
Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
Après de récentes alertes concernant les applications Flygram et Signal Plus Messenger, Telegram se trouve à nouveau au centre des suspicions d’espionnage. Rassurez-vous, la plateforme officielle est l’une des plus sécurisées, car étant basée sur le protocole de chiffrement MTProto. Le problème vient cependant des clones qui pullulent sur Play Store. En effet, elles intègrent en grande partie des logiciels malveillants qui permettent aux hackers de voler les informations des utilisateurs.
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Chez Kaspersky (l’une des plus grandes entreprises en cybersécurité), des chercheurs ont découvert dernièrement des lignes de codes suspectes dans plusieurs fausses applications Telegram. Selon les experts, elles y ont été intégrées afin de subtiliser de nombreuses informations personnelles dont le nom de l’utilisateur, son identifiant, son numéro de téléphone ou encore sa liste de contacts. De plus, les programmes malveillants repérés auraient la capacité d’espionner les conversations.
Ces opérations sont donc effectuées en arrière-plan sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Les applications bien qu’elles soient fausses, fonctionnent avec toutes les fonctionnalités officielles, ce qui rend l’entourloupe difficile à détecter. Et pour attirer les utilisateurs vers ces fausses applications, les descriptions vantent un fonctionnement plus rapide.
Les rapports des chercheurs de Kaspersky ont par ailleurs permis à Google de retirer ces applications du Play Store. Les développeurs à la base de l’opération ont aussi été bannis, mais la menace n’est pas éliminée pour autant. En effet, ces types d’applications peuvent subsister dans le magasin d’applications de Google. De plus, d’autres applications de messagerie pourraient être déguisées pour les mêmes objectifs d’espionnage.
Pour les repérer, vous pourrez notamment passer en revue les descriptions des packages qui intègrent généralement des notions en chinois. Ce qui n’est pas une surprise puisque ces applications sont souvent perçues comme des initiatives du gouvernement chinois. L’opération est généralement orchestrée en direction des Ouïghours qui sont une communauté persécutée dans le pays. Cependant, tous les utilisateurs peuvent se laisser prendre au piège d’autant plus que ces applications malveillantes ont été téléchargées massivement.
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