Après avoir été exclu de l’équipe nationale algérienne en début de CAN-2023 en Côte d’Ivoire, Djamel Belmadi aura déjà l’impression qu’il va enfin reconquérir son poste d’entraîneur des Fennecs.

Malgré les tensions entre le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi Jamel Belmadi, ce dernier a finalement accepté de mettre fin à son contrat sur les conseils de son entourage moyennant trois mois de salaire, soit 3 mois de salaire. 624 000 euros d’intérêts, bien en dessous de ses besoins initiaux, prolongés jusqu’à la fin de son bail en 2026

Ce résultat, s’il se confirme, représente un véritable soulagement pour la FAF. En effet, les Verts exigent que ce poste soit légalement vacant avant qu’un nouvel entraîneur ne soit nommé. Autrement dit, tant que Belmadi reste associé à la FAF, un nouvel entraîneur ne pourra pas être nommé. Ce problème doit être résolu rapidement puisque le Suisse Vladimir Petkovic, qui est en pole position pour occuper cette place, doit finaliser son arrivée après de longues négociations à Alger d’ici mercredi.

Djamel Belmadi de retour pour la Coupe du monde 2026 ?

Selon les informations de La Gazette du Fennec, si Belmadi a accepté de lâcher du lest, c’est parce qu’il aurait reçu certaines garanties. En effet, son retour aux commandes pour la Coupe monde 2026 pourrait être envisageable si le nouveau sélectionneur venait à échouer dans sa mission de qualifier les Verts au moins pour les quarts de finale de la CAN 2025 au Maroc. Cette qualification sera la principale tâche de son successeur.

En cas d’échec ou d’insuffisance de performances du nouvel entraîneur, Belmadi pourrait alors être la première alternative envisagée, comme le suggère la source. Ainsi, afin de ne pas compromettre ses chances de revenir à la tête de la sélection, le technicien aurait accepté l’accord financier et mis fin aux tensions avec Sadi. Fantasme ou réalité, l’avenir le dira peut-être selon les résultats de Petkovic…

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