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Toute la diaspora congolaise à la foire d’Afrique à Paris mi-mai !



La Foire d’Afrique à Paris et la présence d’une communauté congolaise en France, forte de 35.000 membres, à l’instar d’autres grandes diasporas africaines, sont une conjonction idéale pour faire progresser la croissance en Afrique.

Ce grand événement annuel aura lieu les 12 et 13 mai, organisé par la Dream Team Africa, dont le siège est à Johannesburg, fait, chaque année, la démonstration des progrès technologiques de l’Afrique, dans tous les domaines, dont l’iGaming et autres jeux en ligne avec la grande majorité des paris qui se font par la communauté congolaise de France.

La mission de Dream Team Africa

L’équipe de rêve pour l’Afrique est la créatrice de l’événement depuis 3 ans. Elle se donne pour ambition de transmettre la culture africaine à la jeune génération. Or, cette question est particulièrement sensible pour la jeunesse vivant en diaspora, souvent coupée de ses racines et qui peut se faire une fausse idée des chances de l’Afrique dans ce XXIᵉ siècle.

La Dream Team Africa promeut les marques issues du continent d’origine, qui brillent par leurs qualités d’adaptation à un monde en pleine évolution. Elle se veut révélatrice de talents et fait de cet événement le véhicule qui démontrera leurs capacités innovatrices.

La Foire d’Afrique comme campagne d’engagement des innovateurs

Ce rendez-vous annuel entre les créateurs et le grand public est une épreuve de vérité pour la Dream Team : il lui permet de mesurer, à l’aune de ce succès, qu’elle ne s’est pas trompée en faisant confiance à tel ou tel concepteur et en assurant son accompagnement.

C’est, par excellence, une campagne percutante et une solution de marketing expérientiel et immersif, dans laquelle les curieux et futurs consommateurs s’engagent, approfondissant ainsi la valeur des marques exposées.

La diaspora congolaise génère la moitié du PIB du pays d’origine

Si on insiste autant sur cette conjonction d’intérêt, provoquée au cours de ce salon, les enquêtes montrent que les expatriés sont d’une importance majeure pour l’équilibre économique des pays d’Afrique.

Première diaspora africaine

Si les natifs du Congo-Brazzaville représentent quelque 35.000 ressortissants implantés en France, ce chiffre augmente énormément quand on lui additionne la République Démocratique du Congo : malgré l’absence de statistiques très élaborées, les évaluations enseignent qu’il y a entre 2 à 7 millions de Congolais établis en Belgique (c’est l’ancien Congo Belge, Brazzaville étant du côté anciennement français), en France, en Angleterre, aux Pays-Bas, aux États-Unis ou au Canada. Ce serait, de toute évidence, la diaspora africaine la plus importante issue du continent.

L’élite déracinée

On peut presque déceler une ambition politique et une vision du monde, à l’origine de ce salon. Elle tiendrait dans le désir de transfert de compétences et de richesses vers les pays d’origine, plutôt que de confirmer le schéma général des migrations au profit de l’Occident.

Selon l’ONU, les transferts de fonds de ressortissants congolais ont atteint des records, allant jusqu’à 9 milliards de dollars américains en 2011, par exemple.

On trouve, au sein de ces diasporas, les Congolais qui ont bénéficié du haut niveau d’instruction universitaire de leurs pays d’origine. Grâce à ce niveau d’études et leur expérience accumulée au sein d’entreprises souvent florissantes, cette élite africaine « exportée » constituerait un atout majeur, pour un pays dont l’émergence économique est prévue pour les années 2030.

Transfert de compétences et retour souhaité de la diaspora

Le Congo énumère, à présent, la liste infinie des chantiers, actuellement en voie de développement au pays. Il est certain que le gouvernement souhaite, par-dessus tout, que ces couloirs migratoires manifestent toute leur attention et rapatrient leur expertise vers la nation africaine.

Si le Congo a connu une croissance de 9, 5% en 2014, le Produit Intérieur Brut nominal ne dépasse guère 25 milliards de dollars par an. Comparativement, cela représente 1% du PIB français, pour un pays cinq fois plus grand que l’hexagone en superficie. Le budget de l’État congolais est de 9 milliards de dollars, ce qui constitue à peine 2% du budget français, les résultats du secteur bancaire ne parviennent que difficilement à 0,5% du bilan de banques comme la BNP ou le Crédit Agricole, et ainsi de suite.

Double nationalité et aller-retour ?

La réflexion progresse aux deux Congo, pour savoir quelles solutions intermédiaires permettraient le mieux de rapatrier tout ou partie de ces savoir-faire. En République Démocratique du Congo, l’attribution de la nationale est « une et exclusive », depuis la constitution de 2006. Les Congolais de la diaspora qui ont pris la nationalité de leur pays d’adoption sont donc étrangers au Congo, aussi inepte cela peut-il paraître.

Cette question de la double nationalité commence à entrer en débat, ainsi que les mesures d’assouplissement de l’obtention de visas…

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