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Togo/Législatives : Le Conseil de l’entente salue un scrutin calme



Le Conseil de l’entente a salué ce samedi à Lomé, le bon déroulement des élections législatives du 20 décembre. Il a souligné le calme qui a régné durant tout le processus.

Les hommes de médias ont, au cours d’un point de presse pris connaissance de la déclaration liminaire signée par le chef de mission, Yao Kouamé.  La mission qui a séjourné au pays du 20 au 22 décembre est composée d’experts venus du Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Niger et des membres du secrétariat exécutif.

En d’autres termes, la mission estime que les élections  se sont bien déroulées. Néanmoins, des  disfonctionnements ont été notés. Il s’agit de l’absence des délégués de partis en lice dans les bureaux de vote. Elle appelle à y remédier.

« La mission d’observation du Conseil de l’Entente de l’Entente recommande à la Commission électorale nationale indépendante la mise en place d’un mécanisme de renforcement des capacités des agents électoraux pour une meilleure maîtrise des procédures », lit-on dans la déclaration liminaire.

Par elle, la mission demande aux acteurs politiques de renouer le  dialogue pour une application consensuelle des dispositions contenues dans la feuille de route des Chefs d’Etat et de gouvernement de la CEDEAO.

Notons que ces élections ont été boycottées par plusieurs partis politiques dont la Coalition des 14, principale intervenante du dialogue politique. Elle a appelé à deux reprises ses militants et sympathisants à ne pas se faire recenser pour les élections donc à ne pas voter. Selon ses réclamations, aucune élection ne doit se faire au Togo sans les réformes constitutionnelles et institutionnelles limitant à deux le mandat  du président de la République de même que celui des députés.

L’autre point d’achoppement est la possibilité pour l’actuel président Faure Gnassingbé de se représenter en 2020 c’est-à-dire à la fin de son troisième mandat. Le parti au pouvoir estime que la loi est faite pour l’avenir et non le passé. Au sein de la C14, pas question d’un quatrième mandat.

 

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