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Tensions au Soudan : Le gouvernement critique l’ONU et l’IGAD en Progression



 

Le gouvernement soudanais, aligné sur l’armée, a exprimé des critiques sévères à l’égard de l’ONU, condamnant son dialogue avec le chef des paramilitaires impliqués dans le conflit contre l’armée. De plus, le rejet d’une invitation à participer à un sommet de l’IGAD (bloc des pays est-africains comprenant le Kenya, Djibouti, l’Éthiopie et le Soudan du Sud) a accentué les tensions.

Neuf mois après le début des hostilités entre l’armée régulière et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), le gouvernement soudanais, soutenant le chef de l’armée Abdel Fattah al-Burhan, a décliné une invitation au sommet de l’IGAD. Le Conseil souverain de transition du Soudan, dirigé par le général Burhan, a déclaré dans un communiqué que les événements au Soudan sont une affaire interne, rejetant ainsi l’ingérence étrangère.

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Le « Quartet » de l’IGAD, présidé par le président kényan William Ruto, a été critiqué par le gouvernement soudanais pour sa prétendue partialité. Malgré ces tensions, Mohamed Hamdan Daglo, ancien adjoint de Burhan devenu commandant des FSR, a accepté l’invitation et participera au sommet en Ouganda le 18 janvier, selon ses déclarations sur les réseaux sociaux.

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L’IGAD a tenté à plusieurs reprises de jouer le rôle de médiateur entre les factions en conflit, mais ces efforts ont été infructueux. Les analystes soulignent l’isolement diplomatique croissant du chef de l’armée, Abdel Fattah al-Burhan, alors que les troupes sous son commandement peinent à contenir l’avancée des paramilitaires à travers le pays.

Le conflit, en cours depuis neuf mois, a déjà engendré plus de 13 000 morts et déplacé plus de sept millions de personnes, selon les données de l’ONG Armed Conflict Location & Event Data (Acled) et l’ONU.

Le ministre soudanais des Affaires étrangères par intérim, Ali al-Sadiq, a officiellement déclaré que le Soudan « rejette » les récents contacts entre l’ONU et les paramilitaires, qualifiant ces démarches d’une « violation flagrante ». Il a accusé l’IGAD de chercher à légitimer la milice en l’invitant à une réunion exclusivement destinée aux chefs d’État et de gouvernement.

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Malgré ces tensions, le ministère soudanais des Affaires étrangères a souligné que « les options du Soudan restent ouvertes » envers l’IGAD, laissant entendre la possibilité de futures discussions malgré les désaccords actuels. La situation reste complexe avec des allégations de crimes de guerre impliquant l’armée et les FSR, créant un contexte difficile pour toute tentative de résolution pacifique du conflit.

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