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Tanzanie : plus rien ne va au sein du parti au pouvoir



Plus rien ne va au sein du  gouvernement  de la Tanzanie.  Et ce,  quelques jours après la démission du chef du Parlement qui avait reproché au gouvernement de s’endetter à l’étranger.

La présidente Samia Suluhu Hassan a annoncé samedi 8 janvier un remaniement ministériel avec le limogeage de plusieurs ministres-clés.

Tanzanie

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Le remaniement a été provoqué par la démission, jeudi 6 janvier, du chef du Parlement Job Ndugai. Ce dernier a suscité la colère de la cheffe de l’État, Samia Suluhu Hassan, en critiquant les emprunts « excessifs » de la Tanzanie à l’étranger. Une prise de position interprétée par la présidente comme une tentative de salir son image.

Si l’annonce d’un nouveau gouvernement était attendue, le renvoi de trois ministres importants l’était moins. Parmi les absents, figurent les ministres de la Justice, du Logement, de l’Industrie et des Investissements.

Selon les médias locaux, ces proches de l’ancien président John Magafuli paient notamment leurs ambitions pour la présidentielle de 2025. Interrogé sur les raisons de sa démission, le chef du Parlement s’est contenté de répondre qu’il s’agissait « d’une décision personnelle ».

Lire aussi : Somalie : la crise politique touche-t-elle à sa fin ?

Ces derniers événements ont mis à jour les divisions au sein du puissant parti au pouvoir, le Chama Cha Mapinduzi. Des divisions qui se sont accumulées, depuis l’arrivée au pouvoir de Suluhu Hassan, en mars 2021, suite à la mort de son prédécesseur, John Magafuli.

Pour l’analyste, Nicodemus Mehdi, cette crise politique cache une crise de légitimité de la présidente.Lundi 10 janvier, lors de la prise de fonction des nouveaux ministres, Suluhu Hassan a tenté de minimiser les différends au sein de la majorité, disant qu’il y avait toujours une place pour les trois ministres limogés ailleurs, notamment au sein du palais présidentiel.

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