Sous la supervision du Coordinateur, l’assistant (e) exécutera les tâches suivantes :

Appuyer le Coordinateur dans le pilotage stratégique et la planification des activités de coordination.
Soutenir la mise en œuvre des activités de coordination et le renforcement des relations entre les parties prenantes au programme.
Contribuer à la conception et la mise à jour du dispositif qualité du programme en termes de reporting et de suivi et évaluation.
Soutenir le Coordinateur dans l’organisation des activités et le suivi dans les démarches avec l’administration et les autres agences d’exécution
Assurer le reporting lors des activités de coordination et des missions de suivi de mise en œuvre sur le terrain
Soutenir le reporting technique du programme et soumettre au coordinateur pour inputs.
Participer à l’analyse de contexte en termes de stabilisation progressive.

Une description de poste ne pouvant être exhaustive, le titulaire du poste pourra être amené à effectuer d’autres tâches en lien avec son poste, en dehors de celles énumérées ici.

Profil de candidat (Formation, expérience, compétences et attitudes)

Être titulaire de BAC + 3 en gestion de projet, développement rural, sociologie ou dans un autre domaine connexe.
Avoir une expérience professionnelle d’au moins d’un an sur le même poste.
Bonne connaissance dans les domaines de la cohésion sociale, prévention et gestion des conflits.
Bonne aptitude à communiquer tant oralement que par écrit.
Aptitudes à travailler de manière indépendante et de prendre des initiatives.
Jouir d’un esprit d’ouverture, de tolérance et de divergence d’idées.
Être capable de travailler dans un environnement multiculturel.
Excellente connaissance du français, des langues locales parlées dans les communes d’intervention du projet.
Bonne connaissance de l’outil informatique (Word, Power Point, Excel, internet).
Formation et expérience en transformation des conflits/ media constituent des atouts.
Excellente capacité organisationnelle ; flexibilité, fort sens de l’initiative et autonomie dans le travail ; Excellente capacité de travailler sous pression ;
Bonne connaissance de la sensibilité aux conflits et des pratiques de « Do no Harm » ; Bonne connaissance du contexte Niger en général et particulièrement celui des régions de Tahoua et de Tillabéry.