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RD Congo : la dépouille d’Étienne Tshisekedi sera rapatriée « d’ici à deux semaines », selon son fils



Le corps d’Étienne Tshisekedi pourrait être rapatrié en RDC dès la fin des travaux d’aménagement de son caveau, a indiqué à Jeune Afrique son fils, Félix Tshisekedi.
Étienne Tshisekedi, dont la dépouille repose depuis près d’un mois dans un funérarium de Bruxelles, sera bel et bien enterré dans le cimetière de la Gombe. « Le corps sera rapatrié dès que les travaux d’aménagement du caveau seront terminés, ce qui devrait prendre environ deux semaines. Il est inutile de le transporter, si c’est pour attendre ici », a indiqué son fils Félix Tshisekedi.

Un dénouement qui fait suite à plusieurs semaines de vives polémiques opposant les autorités de Kinshasa aux représentants de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti du défunt « sphinx de Limete ».

Le 20 février, une réunion avait rassemblé les différentes parties pour convenir de l’emplacement de son mausolée. Mais les discussions avaient rapidement tourné au dialogue de sourds, avant que le gouverneur de la province de Kinshasa ne tranche dans le vif en signant un arrêté vendredi 24 février prévoyant « d’aménager, au sein du cimetière de la Gombe, un carré spécial (de plus ou moins 500 m2) destiné à recevoir la dépouille de feu Etienne Tshisekedi ».

L’UPDS prend acte

Une décision contraire aux souhaits des représentants de l’UDPS. Ces derniers avaient proposé au gouverneur le 16 février quatre sites symboliques (la place de l’Indépendance, la ville de Kasa-Vubu, l’esplanade du Palais du Peuple et la commune de Limete).

Devant le refus des autorités, le parti avait proposé une toute dernière solution : enterrer le défunt au siège du parti à Limete où un mausolée aurait été érigé. Impossible, leur auraient répondu les autorités, qui affirment qu’une loi datant de 1914 interdit toute inhumation d’une personne décédée en dehors d’un cimetière.

« Nous prenons acte de la décision des autorités, déclare Augustin Kabuya, porte-parole de l’UDPS. Mais ils ont agi avec mauvaise foi, en essayant de nous diviser avec la famille biologique. Nous ne sommes pas tombés dans leur piège et nous avons montré notre dignité. »

Avec Jeune Afrique

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