La question doit se poser. Le jeune homme qui a giflé le chef de l’Etat aura des ennuis. Au même moment, son entourage parle plutôt de tentative de gifle. Peu importe, l’acte est répréhensible. C’est dans la Drôme, à Tain-l’Hermitage en voulant rencontrer des restaurateurs, que Emmanuel Macron a été pris à partie par un homme alors qu’il saluait le public.
Même si en France, la loi n’est pas claire sur un tel acte, il faut retenir que ce n’est pas la première fois que cela arrive. « Une plainte doit être déposée dans les prochaines heures par le préfet », a indiqué le procureur. Si des poursuites sont engagées, l’auteur de l’agression risque un procès et des peines.
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Commandez MaintenantEn 2011, un homme ayant agressé le président Nicolas Sarkozi a été accusé de « violences sur personne dépositaire de l’autorité publique » Ce chef d’accusation peut être puni au maximum de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende selon l’article 222-13 du Code Pénal.
Des peines complémentaires peuvent aussi être prononcées, comme l’interdiction d’exercer une fonction publique. L’homme du nom de Hermann Fuster avait quant à lui écopé de six mois de prison avec sursis rappelle le média RTL.