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Pr0stitution au Togo : des fillettes offertes pour 500 FCFA, dans cette ville



Une malheureuse affaire tourne en boucle depuis quelques heures. La pr0stitution fait son bonhomme de chemin, dans une ville du Togo. À Sokodé, chef-lieu de la région centrale, nous apprenons que la prostitution des mineurs bat son plein.

Des proxénètes feraient travailler de pauvres gamines pour une paie minable. À cause de 500 f, des fillettes sont livrées à des hommes avides et assoiffés de plaisirs libidineux.

Le sexe à moindre coût dans certaines auberges serait ainsi devenu une affaire usuelle. À en croire un témoignage glaçant, le plus vieux métier au monde fait des dégâts dans cette ville.

L’information a été rapportée par un collaborateur de Sikaa Journal, un média confrère.

Pr0Stitution Au Togo : Des Fillettes Offertes Pour 500 Fcfa, Dans Cette Ville

Ci-dessous l’intégralité du témoignage du collaborateur

« Fatigué par le voyage, je cherchais un lieu où passer la nuit et j’ai vite fait de tomber sur une auberge. J’ai dit que je voulais une chambre et le réceptionniste m’a expliqué qu’il y en a pour 4000F et pour 5000F la nuitée.

Les chambres de 4000F sont simplement pour dormir et n’ont que la douche, pas de WC. Celles de 5000F ont des toilettes complètes, et en plus une surprise, m’a-t-il dit.

Pour 1000 Francs de différence, je n’ai pas posé beaucoup de questions et je me suis fait donner une chambre de 5000F. Un lit, une table, une chaise, des toilettes… mais rien qui pouvait ressembler à une surprise.

Un peu déçu, j’ai pris un bain et je suis ressorti pour manger un petit quelque chose dans le resto. Je revins et sautai dans le lit pour dormir enfin d’un sommeil bien mérité. Mais kôkôkô, quelqu’un frappe à la porte. J’ouvre et j’entends une petite voix fine qui me dit :

Bonsoir missié!

-Bonsoir ! Ça va ?

-Oui, ça va. Je suis ton cadeau de la soirée, me répond-elle.

Je tombais des nµes. Une petite gamine mince comme un clou se tenait devant moi, essayant de mettre en valeur des atouts féminins à peine matures. En fait, une enfant. Pris presque de peur, j’ai voulu la chasser, mais je l’ai fait rentrer par curiosité et une conversation s’engagea.

Elle me raconte qu’elle n’est plus une gamine, qu’elle en a l’habitude, que rien n’est gênant, sauf avec les jeunes de la ville qui se déguisent parfois en clients, viennent prendre une chambre et s’arrangent pour faire entrer deux ou trois autres amis qui la baisent tous ensemble, ou bien l’un après l’autre. L’utilisation du préservatif est très rare.

Après quelques minutes de conversation, j’ai voulu la renvoyer pour dormir. Elle me dit que cela ne l’arrangerait pas, parce que ses patrons sauraient qu’elle n’a pas « travaillé ». Ce serait mauvais pour elle et elle n’aurait pas droit au 500 Francs qui lui reviennent sur les 5000 F.

C’est une dame qui tient le business. Elle a un hôtel qui est partenaire de l’auberge en question. Elle place les filles et sur les 5000 F payés par le client, elle prend 1000 F et donne 500 F à la fille. Elle me dit que si elle rentre tôt, il arrive souvent que sa patronne procède à des tests avec le doigt pour voir si elle a du sp3rme dans l’entrejambe ou pas. Si elle n’en a pas, c’est qu’elle n’a sûrement pas travaillé.

Donc j’ai gardé la petite pendant un bon moment pour continuer à causer de sa vie, ses aventures, son intimité, ses projets d’avenir… C’est à en pleurer. Elle est Bassar et apprenait la coiffure quand une de ses grandes sœurs l’a amenée dans le monde de cette forme de pr0stitution où les clients ont droit à toutes les pratiques s3xuelles qu’ils désirent, souvent la s0d0mie.

Je lui ai demandé de s’enfuir ; elle me dit que si elle s’enfuit, la réaction de la patronne serait violente si elle arrive à la retrouver. Je lui suggère d’aller à la police, elle me répond que parmi les clients, les sôdja ne manquent pas. Elle versait de temps en temps des larmes, et se calmait de nouveau, résignée », a-t-il révélé.

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