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Affaire Pascaline Bongo : Le verdict salé du parquet est tombé !



Le parquet national financier français a requis une peine de trois ans d’emprisonnement, dont deux ans avec sursis, à l’encontre de Pascaline Bongo Ondimba, sœur de l’ancien président du Gabon, Ali Bongo Ondimba. Elle est accusée de corruption passive d’agent public étranger.

« Pascaline Bongo était l’administratrice déléguée de Sift, c’est elle qui a mandaté verbalement Danyèle Palazo-Gauthier et qui a également sollicité Franck Ping pour qu’il l’aide », a déclaré le procureur. « Il importe peu que le marché de l’Agence nationale des grands travaux (ANGT) ait échappé à Egis Route. En tant que haute représentante personnelle du président, il entrait bien dans les compétences de Pascaline Bongo de conseiller le président de la République, notamment sur la création de l’ANGT. »

Le parquet a de plus demandé une amende de 150 000 euros. Le verdict de cette affaire est attendu le 22 avril. Le procès de Pascaline Bongo Ondimba s’est ouvert le 29 janvier devant le tribunal de Paris.

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L’accusation porte sur une somme de huit millions d’euros que Pascaline Bongo Ondimba aurait reçue en échange de son intervention en faveur d’une entreprise française pour l’obtention d’un marché public au Gabon. Bien que la somme n’ait pas été perçue, le parquet estime que cela n’ôte rien à la nature initiale de la corruption.

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Franck Ping, ex-beau-fils de Pascaline Bongo, est aussi poursuivi pour complicité de corruption passive d’agent public étranger. Le parquet a requis deux ans d’emprisonnement avec sursis et une amende de 150 000 euros contre lui.

La défense de Pascaline Bongo conteste la qualification d’« agent public étranger » et souligne la perte d’influence de l’accusée après la mort de son père en 2009. La défense plaide également pour un jugement équitable, arguant que l’affaire a des implications non seulement en France, mais aussi au Gabon, marquant un moment historique dans les relations franco-africaines.

Le verdict, prévu pour le 22 avril, marquera la conclusion de cette affaire délicate qui met en lumière des relations familiales compliquées dans le contexte politique franco-gabonais.

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