Nigeria : après l’attaque d’une prison, plus de 1800 détenus s’évadent

 

Plusieurs prisonniers de l’État d’Imo, dans le sud-est du Nigeria ont pu faire se faire la male grâce à une faille créée par un groupe d’hommes armés. L’incident s’est produit ce lundi 5 avril très tôt dans la matinée. Plus de 1800 détenus sont dans la nature, pourtant les autorités pénitentiaires, face à la panique des habitants de la région, rassurent que est désormais « sous contrôle ».

 

Ce lundi 5 avril vers 2 h 15 du matin, une attaque terroriste a permis à plus de 1 800 détenus d’une prison de l’État d’Imo de prendre la fuite. Un  fait spectaculaire orchestré par « des hommes armés », ont déclaré les services pénitentiaires nigérians. Suite à l’attaque, le porte-parole de la prison a fait un communiqué pour donner d’amples informations sur le sujet.

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« La prison d’Owerri (…) a été attaquée vers 2 h 15 du matin lundi par des hommes armés non-identifiés qui ont libéré de force 1 844 détenus », a indiqué dans un communiqué Francis Enobore. « Des témoins ont raconté avoir vu un nombre important d’hommes armés à bord de pick-ups (…), ils ont aussitôt attaqué le personnel de la prison avant de faire exploser la porte principale », explique le porte-parole dans ce communiqué.

 

Outre le porte-parole de la pénitence d’Owerri, le chargé de communication des prisons de l’État d’Imo, James Madugba, s’est prononcé. Il  a confirmé l’attaque et rassure que la « situation est sous contrôle ». Il a invité la population à « continuer à vaquer à leurs affaires ».

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Alors que certains attribuaient l’attaque au mouvement de l’Ipob (The Indigenous People of Biafra) qui opère dans l’Etat d’Imo,  le porte-parole du groupe, Emma Powerful, a réfuté tout lien avec cette attaque, dans un communiqué envoyé à l’AFP, qualifiant toute information les accusant de « mensongères » et « fallacieuses ».

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