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Mémoire de Master : comment choisir un bon sujet de recherche ?



Trouver un bon sujet de mémoire est généralement perçu comme un véritable casse-tête pour bon nombre d’étudiants. Pourtant, lorsque l’étudiant fait l’option de pousser ses études jusqu’au plus haut niveau, il arrive inéluctablement un moment où il se pose cette question cruciale : Comment choisir mon sujet de mémoire ? Comment choisir son sujet de mémoire est une question d’autant plus essentielle qu’en accédant au second cycle de l’enseignement supérieur, le candidat est appelé à réaliser un travail d’étude et de recherche généralement sanctionné par une soutenance devant un jury.

L’épreuve de la soutenance est certes importante et c’est la raison pour laquelle j’ai rédigé un article détaillé répondant à la question de savoir comment réussir sa soutenance. Toutefois, aussi importante que soit la séance de présentation de ses travaux, l’étape du choix de son sujet de mémoire reste beaucoup plus déterminante.

Mieux vaut donc s’y préparer ! Dans cet article, je partage avec vous mes orientations discutées qui vous vont permettre de vous faire une idée claire sur comment choisir son sujet de mémoire.

Comment choisir son sujet de mémoire : une démarche cruciale à maîtriser

La question de savoir comment choisir son sujet de mémoire reste d’autant plus fondamentale qu’elle a une influence forte sur le résultat final auquel chaque candidat au Master va aboutir. C’est donc une « compétence » importante à développer et à consolider afin de remédier à toutes ces frustrations et déceptions qui surviennent en général lorsque le processus de choix du sujet de recherche est négligé.

Comme je le dis souvent dans le cadre de mon cours sur la rédaction scientifique, les étudiants se retrouvent souvent dans deux cas de figure :

Premier cas de figure : c’est l’encadreur lui-même qui propose un sujet de recherche au candidat ;

Deuxième cas de figure : c’est l’étudiant lui-même qui effectue son choix et propose ensuite un sujet en relation avec ses intérêts personnels et ses sensibilités thématiques. D’ailleurs, des éléments détaillés de ces cas de figure peuvent être retrouvés dans ce cours dont l’un des supports powerpoint est inséré ci-dessous.

Mais quel que soit le cas qui vous concerne, il y a un certain nombre d’aspects que vous devrez prendre très au sérieux. J’envisage de produire prochainement une vidéo explicative à ce sujet sur ma chaine YouTube, mais je propose déjà d’en discuter avec vous dans cet article. Ces aspects se rapportent à la nécessité de :

  • se poser pour réaliser un brainstorming et trouver des idées de recherche ;
  • privilégier les idées de sujets qui débouchent sur la lecture et la compréhension de la littérature disponible ;
  • passer votre idée de départ au filtre des critères de validation d’un bon sujet de recherche ;
  • dresser une liste de mots-clés ayant rapport avec votre idée de départ (la fameuse question de départ, on y reviendra) ;
  • se montrer perspicace tout en restant flexible dans ses options ;
  • transformer votre sujet en une question de recherche ciblée ;
  • réaliser des recherches afin de mieux cerner les contours de votre idée ;
  • formuler votre projet de recherche autour du sujet choisi ;
  • éviter les erreurs courantes chez les étudiants (j’en parlerai aussi).

Compte tenu de l’ampleur des tâches, vous vous dites probablement que le choix d’un bon sujet n’est guère facile. En fait, vous avez raison.

Néanmoins, vous devez garder à l’esprit que cette difficulté est très relative. Elle s’accentue pour tout candidat dépourvu de stratégie et complètement candide quant à la démarche à suivre pour faire le travail.

En revanche, elle devient beaucoup plus aisée pour les candidats au Master qui commencent par le… bon bout, tout en s’assurant de comprendre et de suivre la méthode adaptée que je vais vous expliquer.

Pour bien commencer, il est fondamental que l’étudiant garde en repérage la nécessité d’établir un équilibre autour de son sujet. Pour être correct, un sujet de recherche devra être suffisamment étroit et ciblé, en même temps qu’il paraitra assez large pour déboucher sur une opération de collecte des matériaux nécessaires à son traitement.

Si vous voulez bien choisir votre sujet, vous devez donc nécessairement penser à ce à quoi devrait ressembler votre projet final. Cela est d’autant important que votre projet n’est pas forcément identique à ceux des autres candidats, y compris au sein de votre propre promotion.

Le conformisme anéantira inéluctablement votre créativité. Vous vous inspirerez donc des productions scientifiques antérieures, sans avoir besoin nécessairement d’agir comme tout le monde.

Passons à présent en revue ces 8 étapes à suivre pour parvenir au meilleur résultat concernant la question de savoir comment choisir son sujet de recherche.

Étape 1 : fixation des fondements de votre futur mémoire

Mon conseil : Posez-vous pour réaliser votre brainstorming et trouver des idées

Je le dis souvent à mes étudiants durant mes cours : il n’existe pas, a priori, de bon sujet ou de mauvais sujet. Il existe plutôt de bons ou de mauvais candidats. Or, selon le profil, l’engagement et le degré de motivation des uns et des autres, chacun arrive à un résultat spécifique.

Les ouvrages de méthodologie sont clairs à ce sujet, et l’expérience l’a aussi démontré : le sujet qui réussit en général est celui dont l’auteur prend la peine de se poser des questions dès le départ. Comment voulez-vous faire une recherche si vous n’êtes guère intrigué et que vous n’avez aucune question à résoudre ?

Pour faire le meilleur choix de sujet, vous devez agir en suivant deux étapes.

  • La première étape consiste à lister l’ensemble des idées de sujet qui vous viennent à l’esprit. Ecrivez tout pour commencer !
  • La seconde étape consiste à vous poser des questions sur chacune d’entre elles et à essayer d’y répondre de façon franche et lucide : vous parviendrez alors à élaguer, en démêlant la bonne graine de l’ivraie.

Je partage ci-dessous un certain nombre de questions que vous pouvez modifier et adapter en fonction de votre contexte et de votre appartenance disciplinaire. Utilisez ces questions pour éliminer certaines idées de sujet et choisir celle qui vous parait finalement la plus pertinente :

  • Quelles sont les trois grands sujets qui marquent actuellement les débats autour de votre discipline ?
  • Quels sont les thématiques essentielles qui font présentement l’objet de colloques et de conférences en rapport avec votre spécialité ?
  • Avez-vous une opinion bien arrêtée sur une controverse sociale ou politique actuelle ?
  • Avez-vous lu ou vu récemment un article qui a éveillé votre intérêt, mis en colère ou rendu perplexe voire anxieux ?
  • Disposez-vous d’une expérience liée à votre trajectoire, un problème spécifique, une question ou un centre d’intérêt personnel sur lequel vous aimeriez avoir plus de connaissances ?
  • Y a-t-il un aspect d’un cours qui vous intéresse particulièrement et qui serait susceptible de faire l’objet de recherche ?

La liste n’est pas exaustive, mais ce questionnement est fondamental.

En y répondant, vous devez faire attention aux idées reçues ou trop utilisées (et donc dépossédées de toute originalité). Vous devez aussi proscrire les considérations subjectives. En clair, je vous encourage à être imaginatif et à sortir des sentiers battus.

Ne perdez jamais de vue les normes qui régissent le travail scientifique, en l’occurrence la rigueur et l’objectivité. Mettez à contribution votre encadreur (si vous en avez déjà à ce stade) ou toute personne ressource qualifiée dans votre domaine. Cela vous évite non seulement l’isolement mais vous aide également à contourner les blocages et les hésitations inhérentes au parcours de débutant en matière de recherche.

Étape 2 : intégration de votre corpus disciplinaire

Mon conseil : Lisez la documentation de base dans votre spécialité

Lorsqu’ils commencent leurs travaux de recherche, les étudiants ont tellement envie de voir leurs premières réalisations qu’ils s’empressent d’écrire sans même avoir fait le tour de la documentation de base. C’est une grosse erreur. En effet, à défaut de passer par cette étape stratégique, le risque est grand d’ignorer des axes fondamentaux de votre corpus disciplinaire.

Pour autant, quoique la lecture soit cruciale pour tout candidat qui se pose la question de savoir comment choisir son sujet de mémoire, il y a un autre grand piège à éviter. Il s’agit de la « gloutonnerie livresque » décrite par le sociologue Luc Van Campenhoudt dans son célèbre ouvrage intitulé Manuel de recherche en sciences sociales (Dunod, 5e édition, 2017).

Pour commencer, vous n’avez pas besoin de vous montrer glouton, car à la fatigue qu’engendre cette pratique, vous ajouterez de la frustration. Au contraire, vous devez cibler votre lecture et l’orienter vers les thèmes et concepts qui vous intéressent particulièrement. Privilégiez les contenus succincts, sachant que vous aurez, plus tard, le temps ainsi que l’obligation de réaliser des lectures approfondies.

L’avantage de cette option est que, très souvent, la lecture d’un résumé général vous permet d’avoir une vue d’ensemble sur une thématique et de connaître les articulations entre votre idée et des questions plus larges, plus étroites ou plus complexes. Les contenus résumés constituent également une excellente source pour trouver les mots couramment utilisés dans la production scientifique relative à votre thématique.

Pour accéder aux meilleurs contenus ciblés dans votre thématique, adressez-vous aux bibliothèques universitaires et aux bibliothèques spécialisées constituées en général de fonds documentaires alimentés par les productions d’organismes de recherche, d’institutions de coopération, d’ONG, de structures d’encadrement des collectivités territoriales, des mairies et autres.

Bien entendu, vous devez aussi vous servir des ressources disponibles sur Internet. Tout en prenant, bien entendu, les précautions et réserves exigées par la démarche scientifique. Vous y trouverez notamment des encyclopédies, des dictionnaires thématiques, des ouvrages de référence, des revues spécialisées, etc.

Étape 3 : délimitation de votre sujet

Mon conseil : Concentrez-vous maintenant pour délimiter un sujet

Savoir comment choisir son sujet de mémoire suppose également de prendre le contrôle de la situation. Pour y arriver, faites la mesure de vos potentialités et de vos limites, en toute objectivité.

Personne ne vous demande l’impossible ou l’extraordinaire. Par conséquent, s’engager dans un sujet hors-gabarit ou hors-sol ne fera que vous démotiver davantage. Un sujet sera d’autant plus difficile à étudier qu’il est trop vaste ou trop restreint. C’est donc l’équilibre qui est recherché.

Il existe plusieurs stratégies que vous pouvez utiliser pour réduire l’ampleur d’un « sujet monstrueux ». Je vous en donne quelques exemples que je rattache à la thématique générale de l’environnemet :

  • Par zone géographique
    Exemple : Quelles sont les questions environnementales les plus importantes au sein du bassin arachidier au Sénégal ?
  • Par approche culturelle
    Exemple : Comment l’environnement s’intègre-t-il dans la vision des populations en pays Serere ?
  • Par repère diachronique
    Exemple : Quelles sont les questions environnementales les plus importantes de ces dix dernières années ?
  • Par approche sectorielle
    Exemple : Comment la sensibilisation à l’environnement influe-t-elle sur les pratiques commerciales actuelles ?
  • Par ciblage démographique
    Exemple : Quels sont les effets de la pollution de l’air sur les personnes âgées de plus de 60 ans ?

Cette stratégie de « segmentation » est d’une importance capitale pour structurer un sujet précis. Elle permet en fait de passer du général au particulier, et donc du superflu à l’essentiel.

Toutefois, je vous suggère fortement de rester vigilant car votre sujet peut s’avérer trop difficile à traiter, ou du moins inintéressant s’il correspondant aux caractéristiques ci-dessous :

  • Le sujet est trop confiné sur le plan spatial et n’est guère susceptible de généralisation après la recherche ;
  • Le sujet est trop récent et ne présente pas assez de matière pouvant faire l’objet d’une analyse objective ;
  • Il est largement interdisciplinaire et vous soumet potentiellement à une masse d’informations superficielles ;
  • Et, enfin, le sujet est trop populaire et vous expose au superflu et à la répétition d’informations déjà diffusées, y compris dans les médias.

Étape 4 : spécification pour la mise en route

Mon conseil : Dressez une liste de mots-clés significatifs pour votre sujet

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L’une des meilleures manières de se fixer sur un sujet consiste à relever les mots utilisés en général pour le décrire. En effet, l’identification de mots-clés permet de saisir la quintessence d’un énoncé et de se prémunir, par conséquent, de la dispersion.

Pour réussir cette phase, voici quelques suggestions pratiques :

  • Marquez vos différentes formulations de sujet qui vous semblent a priori intéressantes ;
  • Recherchez les mots qui décrivent le mieux chacune d’entre elles ;
  • Recherchez-les dans les articles de revue, les ouvrages ou même les journaux ;
  • Trouvez des termes plus larges et/ou plus étroits, des synonymes, des concepts clés afin de pouvoir ratisser large dans un premier temps ;
  • Répertorier tous ces mots que vous pourrez utiliser plus tard lors de vos recherches dans les bases de données et les catalogues de bibliothèques ou sur Internet.

Étape 5 : modifications et reformulations

Mon conseil : Restez flexible et sérein face aux besoins de modifications

Si vous pensez pouvoir parvenir à structurer un sujet d’un seul coup et vous fixer définitivement sur l’intitulé, alors vous vous trompez. Un sujet est évolutif et changeant en raison du fait qu’il implique de la recherche et des échanges ardents entre plusieurs acteurs. Or, vous n’êtes qu’un, parmi une multitude de parties prenantes.

Tout récemment, j’ai fait soutenir un mémoire de Master par un de mes étudiants ayant travaillé sur le thème de la ville intelligente. Son travail était tellement ciblé et fouillé que le jury a du lui recommander de reformuler le titre de son document autour de la communication territoriale à l’ère du numérique. Ce qui est, bien évidemment, un axe important de la problématique de la ville intelligente.

Voilà ! Votre sujet est donc susceptible de modification avant l’entame des recherches, au cours des investigations, après le retour du terrain, avant la soutenance et même le jour de la soutenance. Vous ne pouvez jamais être sûr, en amont, de ce qu’il va être en définitive.

Montrez-vous alors flexible, et non imperméable au changement. N’oubliez jamais, en entamant un mémoire, que l’objectif n’est pas de le terminer. Eh oui, paradoxalement.

L’objectif est de bien le terminer.

Les raisons qui entrainent une modification de votre sujet sont nombreuses. En effet, vous pouvez trouver que le sujet est trop large et avoir besoin de réduire son champ d’action. L’inverse est également possible.

Quoi qu’il en soit, sachez que cela relève de l’ordre normal du processus de recherche. Estimez-vous plutôt heureux et ne paniquez pas : le fait que vous éprouviez un besoin de modification d’un élément de votre sujet signifie aussi que votre réflexion n’est pas stagnante. Au contraire, votre réflexion est dynamique.

Personne n’aimerait changer de sujet au cours de ses recherches. C’est une énorme perte de temps. Mais chacun peut parfois décider que tel aspect de son sujet est plus intéressant que tel autre et que, par conséquent, il doit appliquer des changements.

Si vous vous retrouvez dans ce genre de situation, gardez à l’esprit les moyens à votre disposition, la longueur autorisée à votre document de recherche, au projet, à la bibliographie, au corps de l’argumentaire, etc. Soyez conscient également de la profondeur du traitement du sujet ainsi que des échéances à respecter. Ces facteurs importants peuvent vous aider à décider dans quelle mesure et à quel moment vous devez apporter (ou non) des modifications à votre sujet.

Étape 6 : élaboration d’un questionnement spécifique

Mon conseil : Transformez votre sujet en questions de recherche

Vous avez réalisé votre brainstorming, dégagé vos idées de sujet, structuré des formulations, identifié le sujet spécifique qui vous semble porteur. Il est maintenant temps de le transformer en question de recherche.

La première chose à faire est de vous concentrer sur une question principale. Ensuite, vous formulerez des questions de recherche spécifiques.

Je vous donne ci-dessous un cheminement facile à suivre :

  • Vous commencez souvent par un concept qui vous intéresse tout particulièrement et qui va structurer votre sujet : Exemple « économie numérique et téléphonie mobile »
  • Vous développez un intérêt plus spécifique autour d’un aspect de ce concept : Exemple « transferts d’argent via le mobile »
  • Puis vous vous montrez intrigué et vous formulez des questions.

Finalement, vous parvenez à ça :

Et enfin, en appliquant la stratégie de segmentation présentée à l’étape 3, vous pourrez relier votre sujet à un contexte géographique et socioéconomique très précis. Exemple : Ville de Tambacounda.

Étape 7 : affinement et consolidation de votre sujet

Mon conseil : Faites des recherches plus ciblées pour mieux cerner votre sujet

Etant de donné que vous savez désormais ce que vous souhaitez trouver, il devient plus facile de le chercher. Par conséquent, vous pouvez vous lancer dans une nouvelle étape de recherche. Pour réussir cette étape, utilisez les mots clés que vous avez répertoriés pour mener des investigations dans les catalogues de bibliothèques, les bases de données d’articles et les moteurs de recherche sur Internet.

Collectez et organisez le maximum d’informations et de données pouvant vous aider à répondre à votre question de recherche principale. N’oubliez pas que cette étape est décisive et que par conséquent, vous devez avoir une organisation semblable à celle des étudiants à succès.

Étape 8 : Validation de votre sujet

Mon conseil : Formulez un énoncé cohérent et complet de votre sujet

Vous y êtes presque ! Après avoir réalisé toutes les étapes liées à notre question initiale de savoir comment choisir son sujet de mémoire, vous devez désormais être capable de formuler correctement ce fameux sujet.

Capitalisez le travail réalisé et rédigez votre sujet sous forme d’énoncé ou de déclaration directe, non interrogative et sans verbe conjugué. En formulant cet énoncé, gardez à l’esprit qu’il s’agit aussi d’une piste de recherche visant à apporter des réponses à votre question de départ et un moyen d’énoncer clairement l’objectif de votre travail d’étude.

En termes de structuration, l’énoncé de votre sujet se compose généralement d’une ou deux phrases. Celles-ci suggèrent précisément deux choses :

Voilà donc globalement les étapes majeures qui pourront vous aider à répondre concrètement à la fameuse question de savoir comment choisir son sujet de mémoire.

N’oubliez pas que c’est seulement après avoir réalisé ce travail et formulé votre sujet que vous devrez vous présenter à un encadreur. La raison est très simple : il vaut mieux vous présenter à l’encadreur avec le profil d’un étudiant sachant déjà ce qu’il a envie de produire comme recherche.

L’inverse est fortement déconseillé. Vous voulez savoir pourquoi ? Tout simplement parce qu’aucun enseignant, en commençant par moi, n’aime travailler avec un étudiant à l’air hésitant, non enthousiaste, très peu souriant et démotivant.

Vous aurez compris finalement que la démarche pour choisir un bon sujet de mémoire est loin d’être facile. Au contraire, elle demande à la fois beaucoup de sérieux, de la concentration et de la rigueur. En même temps, elle exige de prendre conscience de toutes ces erreurs préjudiciables à la bonne marche du processus.

Voyons ensemble très rapidement ces 11 erreurs fréquentes chez les étudiants. 

Comment choisir son sujet de mémoire : quelques erreurs courantes à éviter

Ces erreurs sont tout simplement.. fatales pour tout candidat à une rédaction scientifique. Que ce soit pour un mémoire de Master ou un rapport de stage. Mais heureusement qu’elles sont éminemment évitables. Pour cela, il convient de les connaître, de prendre conscience de leur gravité et de les contourner.

Je vous les cite ci-dessous :

  • Première  Erreur : Choisir un sujet de mémoire dépassé et démodé
  • Deuxième Erreur : Choisir un sujet trop récent et donc sans suffisamment de matière à analyser
  • Troisième Erreur : Choisir un sujet sans perspective d’épanouissement personnel ou professionnel
  • Quatrième Erreur : Choisir un sujet ayant déjà fait l’objet d’une pléthore d’études et de recherche
  • Cinquième Erreur : Choisir un sujet sans aucune originalité
  • Sixième Erreur : Choisir un sujet trop original et non porteur
  • Septième Erreur : Choisir un sujet trop vaste et hors de portée
  • Huitième Erreur : Se laisser imposer un sujet qui ne vous inspire absolument rien
  • Neuvième Erreur : Changer de sujet entre le Master 1 et le Master 2
  • Dixième Erreur : Choisir un sujet trop personnel et susceptible de subjectivité
  • Onzième Erreur : Se mettre en désaccord avec son encadreur à propos du sujet choisi

Je reviendrai, dans un prochain article, de manière détaillée sur ces différentes erreurs. Cela vous aidera alors à les éviter et à choisir le meilleur sujet pour votre mémoire.

J’espère, en définitive, que cet article vous aura aidé déjà à avancer dans votre recherche. Faites-le moi savoir en m’écrivant dans la partie commentaire (ci-dessous) vos éléments de réflexion, vos propres préoccupations ainsi que vos questions.

J’y répondrai avec plaisir, histoire de continuer la réflexion avec vous.

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