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Marine Le Pen : « La France n’a pas le choix et doit quitter le Burkina Faso »



Marine Le Pen, la présidente du groupe RN (Rassemblement National), à l’Assemblée Nationale française, s’est récemment prononcée sur la question du départ des troupes françaises du Burkina Fas0.

En effet, la présidente du groupe RN estime que la « la France n’a pas le choix » et doit quitter le Burkina comme demandé par les autorités de la transition. La France doit se plier aux exigences de Ouagadougou.

Suite à la dénonciation de l’accord de 2018 par les autorités de la transition, Emmanuel Macron avait demandé des éclaircissements au président de la transition, Ibrahim Traoré.

Malheureusement, la réponse du gouvernement du Faso ne fut pas en faveur des Français. Face à cela, Marine Le Pen a déclaré que Paris « ne peut pas se maintenir au Burkina Fas0 contre l’avis du gouvernement burkinabé ».

Elle précise dans une interview de BMFMTV que « la France n’a pas le choix » et doit partir du pays des hommes intègres ; tout en déplorant un nouvel échec de son pays après celui Mali. « C’est un échec absolument total après celui du Mali ».

« Le plus important est de travailler en ayant conscience que nous sommes de nations souveraines à égalité », a-t-elle déclaré avant de fustiger l’Union Européenne, qui « conditionne toute une série d’aides à une évolution des lois, à une évolution des mœurs ».

La France se plie aux exigences de Ouagadougou

Dans un communiqué en date du mercredi 25 janvier 2023, Paris a accusé réception du message d’Ibrahim Traoré. C’est pourquoi il a été annoncé que les militaires français quitteront dans un délai d’un mois le Faso.

« Mardi […] nous avons reçu formellement la dénonciation, par le gouvernement burkinabè, de l’accord de 2018 relatif au statut des forces françaises présentes dans ce pays. Conformément aux termes de l’accord, la dénonciation prend effet un mois après la réception de la notification écrite. Nous respecterons les termes de cet accord en donnant suite à cette demande », a indiqué une porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

Dans la même logique, Luc Hallade, l’ambassadeur de la France auprès du Burkina, depuis 2019, a été rappelé par son pays, ce jeudi 26 janvier.

 « Dans le contexte des derniers développements intervenus au Burkina Fas0, nous avons décidé de rappeler notre ambassadeur à Paris, pour mener des consultations sur l’état et les perspectives de notre coopération bilatérale », a expliqué le ministère français des Affaires étrangères à l’AFP.

Rappelons qu’il s’agit du 3ᵉ pays où les troupes françaises sont contraintes de plier bagages. Quelques mois après leur départ suivi d’une rupture diplomatique au Mali, le contingent français en Centrafrique a dû se replier. Même s’ils ne sont pas encore partis du territoire burkinabé, leur départ est acté. Vers un déclin de la France en Afrique ?

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