En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Marcel Amon Tanoh demande pardon à Alassane Ouattara



 

« Une faute avouée est à moitié pardonnée » dit-on. Demandez à Marcel Amon-Tanoh, il vous dira que nous avons raison à plus de 100%. Après avoir tenu des propos déplacés lors de la crise politique ivoirienne, l’homme politique revient à de meilleurs sentiments.

Marcel Amon-Tanoh présente ses excuses à Ouattara pour ses propos du 10 octobre 2020. « J’ai conscience d’avoir profondément heurté le Chef de l’Etat, à qui je tiens à présenter publiquement mes sincères excuses, et à exprimer mes regrets aux Ivoiriens (…) », reconnait-il publiquement…

« Je reconnais n’avoir pas été totalement fidèle à mon engagement de montrer aux ivoiriens qu’il est possible de faire de la politique différemment, en sachant, malgré nos désaccords, garder le bon ton, sans proférer d’invectives et sans porter de jugements de valeur », a avoué Amon Tanoh. Lui, qui était sans aucun doute l’un des piliers du régime a fini par claquer la porte à cause de son ambition présidentielle. M. Tanoh rappelle qu’il était avec M. Ouattara depuis très longtemps quand il était encore Premier ministre.

Marcel Amon-Tanoh, ancien ministre des Affaires étrangères sous le président ivoirien Alassane Ouattara, avait déposé son dossier de candidature à la présidentielle du 31 octobre samedi à la Commission électorale indépendante (CEI). Finalement, sa candidature sera rejetée.

Le chef de l’Etat ivoirien va-t-il accueillir favorablement ce pardon ? Nul ne le sait. Une chose est sûre, c’est un pas d’humilité fait envers celui qui hier était son mentor en politique. Marcel Amon-Tanoh avait même reconnu auprès de nos confrères de Jeune Afrique qu’il y avait un différend entre lui et Ouattara mais qu’ils ne sont pas fâchés.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Cet article est réservé aux abonnés. Déjà abonné ?

Enquêtes, interviews, analyses…

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en illimité !