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Les écoles se fient aux chatbots pour déterminer quels livres censurer.

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Des écoles se tournent vers les chatbots pour décider quels livres censurer

Dans un monde de plus en plus connecté, les écoles cherchent de nouveaux moyens de filtrer le contenu accessible aux étudiants. Certaines écoles ont décidé de faire confiance aux chatbots, des programmes informatiques qui utilisent l’intelligence artificielle pour identifier les livres à censurer.

Le recours à ces chatbots permet aux écoles de gagner du temps et de l’efficacité dans leur processus de sélection de livres. Les chatbots analysent automatiquement les mots-clés, les thèmes et les éléments potentiellement controversés dans les livres afin de déterminer ceux qui sont inappropriés pour les étudiants. Cela permet aux écoles de censurer rapidement et efficacement le contenu potentiellement offensant ou inapproprié.

Cependant, cette utilisation des chatbots pour censurer les livres pose aussi des questions sur la liberté d’expression et l’accès à l’information. Certains s’inquiètent que les chatbots puissent commettre des erreurs et censurer des œuvres d’importance littéraire ou historique. De plus, cela soulève des préoccupations quant à la subjective de l’évaluation automatisée du contenu.

Pour répondre à ces inquiétudes, certains experts recommandent d’inclure des bibliothécaires et des enseignants dans le processus de sélection de livres, afin de bénéficier de leur expertise et de leur compréhension de la valeur éducative des œuvres. Ils soutiennent que la combinaison de l’intelligence artificielle et de l’expertise humaine peut aboutir à une meilleure sélection de livres pour les étudiants.

Alors que les chatbots continuent d’être utilisés dans les écoles pour censurer les livres, il est essentiel de maintenir un équilibre entre la protection des étudiants et la préservation de la liberté d’expression. La transparence dans le processus de sélection des livres et l’inclusion d’experts humains peuvent aider à atteindre cet équilibre.

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