En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Les deux danseurs de Wally Seck relaxés ?



C’est ce mardi que les deux danseurs de Wally Seck, Ahmeth Thiou et Amady Badiane, seront jugés devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Arrêtés jeudi dernier pour attentat à la pudeur et outrage public aux bonnes mœurs, ils ont été placés sous mandat de dépôt le lendemain. Ce mardi, ils seront relaxés ou maintenus en prison.

Les deux danseurs de l’artiste-musicien sénégalais Wally Seck, notamment Ahmet Thiou et Amady Badiane, arrêtés chez eux de manière discrète par des équipes de la brigade des mœurs puis acheminés au commissariat central, jeudi dernier avant d’être entendus, sont en prison depuis le vendredi, lendemain de leur arrestation. Ils doivent passer devant le juge, ce mardi 29 juin 2021, et seront soit acquittés, soit maintenus en détention.

Les faits à eux reprochés se sont déroulés le samedi 12 juin dernier, lors du concert de Wally Seck, au grand Théâtre. Durant le spectacle, les deux danseurs se sont livrés à du « bouche à bouche », un acte jugé contre-nature. Ce qui a valu leur arrestation. Durant leur interrogatoire, Ahmet Thiou et Amady Badiane ont évoqué un « acte spontané » et jurent de n’avoir pas eu l’intention de choquer. Leurs excuses n’ont pas empêché leur déferrement.

Wally Seck, qui a également été interrogé, a, pour sa part, affirmé qu’il ne cautionne pas ces actes, précisant qu’il était en train de se préparer lors que cet incident a eu lieu sur scène. L’artiste-musicien a été lâché tard dans la soirée. Quant à ses deux chanteurs, ils sont incarcérés et poursuivis pour « outrage public aux bonnes mœurs ».

Les deux prévenus sont frappés par l’article 319 du code pénal sénégalais, alinéa 3, issu de la loi no 66-16 du 12 février 1966, qui stipule : « sera puni d’un emprisonnement d’un à cinq ans et d’une amende de 100 000 à 1 500 000 francs, quiconque aura commis un acte impudique ou contre nature avec un individu de son sexe. Si l’acte a été commis avec un mineur de 21 ans, le maximum de la peine sera toujours prononcé ».

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Que vous cherchiez à avancer dans votre carrière ou à élargir vos horizons académiques, DoingBuzz est là pour vous. Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Cet article est réservé aux abonnés. Déjà abonné ?

Enquêtes, interviews, analyses…

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en illimité !