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Le corps d’une femme sans tête retrouvée à Lomé



 

Dimanche triste. Ce 17 janvier, les riverains du 4ème lac de Lomé se sont réveillés avec tristesse. Une jeune femme, probablement la vingtaine a été retrouvée morte dans le lac artificiel. Il a fallu l’intervention de la Police pour que son corps soit repêché de l’eau.

 

Malheureusement, le cadavre n’avait pas de tête. Une première photo avait été partagée avant qu’un de nos reporters ne se transporte sur les lieux du drame. En ce moment, il sonnait midi dépassé de plusieurs minutes et le corps avait été emporté par les forces de l’ordre.
Sur les lieux, la tristesse et la désolation se lisaient sur les visages. D’après les premières informations recueillies, il s’agirait d’une jeune femme. Selon la première version que soutient fermement une partie des riverains, il s’agirait d’une prostituée.

 

A s’en fier à ce récit, des hommes en voiture lui aurait demandé de les suivre en voiture pour une partie de jambes en l’air. Nous apprenons que cette même thèse est soutenue par une autre fille de joie. Les autres filles auraient refusé de suivre les hommes mais la défunte aurait été la seule à accepter.

Il faut dire que cette version des faits n’est pas du tout acceptable pour d’autres personnes. Selon un des riverains retrouvés sur les lieux, c’est faux de raisonner ainsi. La jeune fille serait probablement tuée ailleurs avant même que sa tête ne soit tranchée aux abords du quatrième lac car pour lui, elle est encore très très jeune.

C’est du moins la conclusion que fait l’un des riverains, M. Adjéson, la quarantaine qui déplore au passage l’inexistence de lampadaires, de bars et d’autres activités autour du lac. Des moyens qui selon lui permettront d’attirer du monde et de mettre fin à ces situations désastreuses. Il soutient également que la pêche devrait être autorisée dans la pêche. Sa doléance, dit-il fait partie des mesures pouvant aider à sécuriser la zone.

«A voir la scène, ce n’est pas une seule personne qui a commis ce crime crapuleux. Ils doivent être nombreux à tuer de sang-froid cette jeune fille. Nous demandons que des lampadaires soient installés autour du lac artificiel », nous glisse un jeune homme rencontré sur les lieux.

La population d’Akodessewa , d’Anfamé et environs est donc sur le qui-vive, la peur au ventre en attendant de vivre un jour en sécurité. Qui pour la sauver ? La question reste posée.

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