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La présidente tanzanienne annonce qu’elle sera candidate en 2025



La présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan a défendu mercredi l’état de la démocratie sous son règne, repoussant les plaintes persistantes de l’opposition selon lesquelles elle menait le pays vers la dictature.

Hassan, qui est actuellement la seule femme cheffe l’État en Afrique, a laissé entendre qu’elle se présenterait aux élections dans quatre ans. « Ils commencent à nous taquiner, publiant dans la presse que Samia ne se présentera pas. Qui leur a dit ça ? » a-t-elle ironisé. Et d’ajouter : « Nous mettrons une femme à la présidence en 2025, si nous faisons bien notre travail, si nous sommes unis. »

Le mois dernier, le gouvernement a suspendu un journal appartenant au CCM pendant 14 jours pour avoir publié une « fausse » histoire selon laquelle Hassan n’envisageait pas de se présenter aux élections présidentielles.

Hassan, a été présidente suite au décès soudain de son prédécesseur John Magufuli. Initialement, Hassan a tendu la main à l’opposition, promettant de défendre la démocratie et les libertés fondamentales, et de rouvrir les médias qui étaient interdits sous Magufuli.

« La Tanzanie (est) très bonne en démocratie », a déclaré Hassan, un pilier du parti au pouvoir Chama Cha Mapinduzi (CCM) qui a été vice-président de Magufuli.

« Je sais qu’il y a des défis dans notre démocratie, mais c’est normal car aucun pays n’est parfait en ce qui concerne la démocratie », a-t-elle déclaré lors d’une cérémonie marquant la Journée internationale de la démocratie de l’ONU.

L’arrestation en juillet de Freeman Mbowe, chef du principal parti d’opposition Chadema, a suscité des inquiétudes au pays et à l’étranger selon lesquelles elle cherchait à faire taire la dissidence.

Mbowe a été arrêté avec un certain nombre d’autres hauts responsables du parti juste avant qu’ils ne tiennent un forum public pour appeler à une nouvelle constitution.

Plus tôt ce mois-ci, le gouvernement a également suspendu un journal privé pendant 30 jours pour avoir lié un tireur « terroriste » qui a tué quatre personnes lors d’une fusillade en août à Dar es Salaam au parti au pouvoir.

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