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La CEDEAO exige la libération de Kaboré et déploie ses forces en Guinée-Bissau



Au lieu de nouvelles sanctions, les dirigeants ont appelé à un retour à la démocratie et à la libération du président déchu Roch Marc Christian Kaboré « dans les plus brefs délais ». La CEDEAO déploie également des soldats en Guinée-Bissau.

Les dirigeants ouest-africains ont décidé de ne pas imposer immédiatement de nouvelles sanctions contre la nouvelle junte militaire au Burkina Faso, a décidé le bloc lors d’un sommet d’urgence jeudi.

La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), composée de 15 nations, a plutôt appelé les dirigeants militaires à proposer une date pour le retour du pays à un régime démocratique.

La semaine dernière, le Burkina Faso a été suspendu du bloc après être devenu le troisième pays de la région où l’armée a pris le pouvoir lors d’un coup d’État au cours des derniers mois.

La CEDEAO a déjà imposé des sanctions au Mali et à la Guinée à la suite des prises de contrôle militaires de l’année dernière.

Ils ont juré de prendre des mesures similaires contre la junte au Burkina Faso s’ils ne parvenaient pas à libérer le dirigeant déchu Roch Marc Christian Kaboré.

« Si vraiment ils ne le libèrent pas, ils prendront des sanctions », a déclaré le président de la Commission de la CEDEAO, Jean-Claude Kassi Brou.

La force ouest-africaine sera déployée en Guinée-Bissau

Lors de leur sommet d’urgence dans la capitale ghanéenne Accra, les dirigeants régionaux ont également décidé de déployer des troupes en Guinée-Bissau pour aider à stabiliser le pays après un coup d’État manqué au début de cette semaine.

« La force de stabilisation doit empêcher toute tentative de l’armée de reprendre le pays », a selon Brou.

Le président Umaro Sissoco Embalo a confirmé que la stabilité avait été rétablie dans le pays après que le gouvernement a déclaré que les assaillants avaient l’intention d’assassiner le président lors d’une tentative de coup d’État dans la capitale du pays, Bissau, mardi.

Embalo a précédemment dit qu’il ne croyait pas que l’armée était impliquée dans la tentative de coup d’État.

La CEDEAO a déployé une mission similaire en Guinée-Bissau de 2012 à 2020 après un coup d’État.

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