La Cour suprême de l’Iran a confirmé la condamnation à mort pour adultère d’un homme de 27 ans et de sa maîtresse de 33 ans, après que le beau-père de l’homme leur ait refusé la clémence.
La femme de l’homme, qui a présenté à la police des preuves vidéo de l’infidélité de son mari au début de l’année, avait demandé aux tribunaux d’épargner la peine de mort aux deux concernés.
Mais son père a exigé que la peine de mort soit prononcée et le tribunal lui a donné raison. La loi iranienne prévoit que si la famille de la victime pardonne à l’accusé d’un crime capital, le condamné peut être gracié ou condamné à une peine de prison.
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Selon l’interprétation de la charia islamique en vigueur depuis la révolution iranienne de 1979, avoir des relations en dehors du mariage est puni par la lapidation. Mais Téhéran a modifié la loi en 2013 pour permettre aux juges d’ordonner une autre méthode d’exécution, généralement la pendaison.
Il n’était pas clair quelle forme d’exécution le tribunal a ordonné dans le dernier cas.