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Niger : La justice se prononce sur la levée de l’immunité de Mohamed Bazoum



La Cour d’État doit prendre une décision cruciale concernant l’ancien président nigérien Mohamed Bazoum, renversé par un coup d’État le 26 juillet dernier et détenu au palais présidentiel depuis lors. Cette décision concerne la possible levée de son immunité afin qu’il puisse être jugé. L’audience qui s’est tenue vendredi dernier a décidé de mettre l’affaire en délibéré jusqu’au 10 mai prochain.

Devant la Cour d’État, qui a été créée après le coup d’État et qui détient les compétences de la Cour de cassation et du Conseil d’État, une vingtaine de magistrats étaient présents, ainsi que le procureur général.

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Les chefs d’inculpation contre Mohamed Bazoum sont multiples. Ils comprennent notamment le complot visant à porter atteinte à la sûreté et à l’autorité de l’État, en lien avec les événements d’octobre qui ont été présentés par le Conseil national pour le salut du peuple (CNSP) comme une tentative d’évasion. D’autres accusations incluent la haute trahison, avec des allégations concernant des échanges entre l’ancien président et des contacts nigériens et étrangers, ainsi que l’apologie du terrorisme pour des propos tenus lors d’une interview.

Mohamed Bazoum 1

La défense de Mohamed Bazoum a affirmé qu’elle n’avait pas eu accès au dossier ni pu communiquer avec son client, demandant ainsi un renvoi. Cependant, la cour n’a pas répondu à cette demande et a choisi de reporter sa décision au 10 mai prochain.

Par ailleurs, deux proches de Bazoum, Abdourahamane Ben Hamaye et Mohamed Mbarek, ont été placés sous mandat de dépôt et sont poursuivis pour complot contre la sûreté de l’État. Cette décision fait suite à une demande de libération faite précédemment par le juge des référés. Désormais incarcérés, leur situation sera traitée dans le cadre d’une procédure régulière par le juge d’instruction.

 

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