Gabon : de jeunes lycéennes twerkent en tenue scolaire (vidéo)

Les débats liés aux dépravations en milieu scolaire reviennent sur la table ronde. Les inquiétudes des parents d’élèves, des éducateurs et du gouvernement par rapport aux habitudes des apprenants de cette nouvelle génération, ressurgissent à l’apparition d’une vidéo sur la toile. Elle montre des jeunes lycéennes gabonaises qui twerkaient dans leur tenue scolaire.

Selon les informations qui circulent au sein de la presse locale, ces jeunes filles seraient des élèves du Lycée Djoué Dabany. Elles n’ont pas pris la peine d’enlever leur tenue scolaire avant de s’adonner à cette séance de twerk. Elles tournaient les fesses dans des positions indescriptibles sans être gênées pas les conséquences qui découleront de l’apparition de cette vidéo sur le net. C’est donc dans leur uniforme qu’elles ont décidé de prouver qu’elles font des prouesses au lit.

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En effet, cette indélicatesse de ces lycéennes serait le fruit d’un challenge qui fait actuellement du bruit sur les réseaux sociaux. Des challenges qui obligent à tourner les reins sur le net sont courants. Par contre, ceux qui nécessitent de les faire en uniforme scolaire ne devraient plus voir jour car en 2020, une bataille a été livrée contre cela par les autorités en charge de l’éducation dans les différents pays de l’Afrique de l’ouest.

Tout porte à croire que ce sont les jeunes lycéennes, elles-mêmes qui ont naïvement décidé de faire cette vidéo en tenue. Sur les réseaux sociaux, d’autres filles ont pris part au challenge, mais sans s’afficher dans un accoutrement qui fait poser des questions. L’on peut entre autres donner la web humoriste Eunice Zunon comme exemple. Elle a twerké comme l’exige le défi sans entacher sa profession.

Les bruits de couloir indiquent que les autorités gabonaises ont réagi suite à cette nouvelle affaire qui donne une mauvaise image des instituts en charge de l’éducation en Afrique. Comme dans le cas de figure qui s’est produit par le biais de l’application Lomotif, il a été demandé aux dirigeants de l’établissement de ces jeunes filles de les sanctionner.

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C’est un phénomène qui fait perdre la morale aux parents d’élèves et à tous les acteurs de l’éducation dans des pays comme le Togo, le Bénin, la Côte d’Ivoire et le Gabon. Toutefois, cela démontre à quel point tous ces intervenants doivent redoubler d’efforts pour encadrer les jeunes et les inciter à la culture au lieu des sextapes et des twerks.