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« Free Zuma » : Ramaphosa se rend à l’épicentre des troubles



Le Président sud-africain Cyril Ramaphosa s’est rendu à Durban, épicentre des violences meurtrières et des pillages qui ont secoué le pays au depuis la semaine dernière, en faveur de la libération de l’ancien Président Jacob Zuma, en détention pour outrage à la justice. « Il est assez clair que tous ces incidents de troubles et de pillages ont été provoqués, il y a eu des gens qui l’ont planifié et coordonné », a déclaré Ramaphosa.

Ce vendredi, le Président sud-africain Cyril Ramaphosa s’est adressé aux médias, lors d’une visite d’un centre commercial endommagé après plusieurs jours de pillage suite à l’emprisonnement de l’ancien Président sud-africain Jacob Zuma à Durban, en Afrique du Sud. Ramaphosa a fait ces remarques lors de sa visite dans la municipalité d’Ethekwini, qui comprend la ville portuaire de Durban, l’une des zones les plus touchées en une semaine de pillages et d’incendies criminels qui ont détruit des centaines d’entreprises et causé la mort de plus de 100 personnes.

« Nous les poursuivrons, nous en avons identifié un bon nombre et nous ne permettrons pas à l’anarchie et au chaos de se dérouler dans notre pays », a-t-il déclaré. La province du KwaZulu-Natal (KZN) était sa première visite sur le terrain depuis le début des troubles, les pires de l’Afrique du Sud post-apartheid. Les violences ont éclaté dans la province du Sud-Est avant de s’étendre à Johannesburg. Des centres commerciaux et des entrepôts ont été saccagés dans deux provinces, attisant les craintes de pénurie et portant un coup dévastateur à l’économie.

Au moins 117 personnes sont mortes, certaines abattues et d’autres tuées dans des bousculades lors de pillage. Des manifestations ont éclaté le 9 juillet dernier, un jour après que l’ex-Président Jacob Zuma, qui bénéficie du soutien des pauvres et des fidèles du Congrès national africain (ANC), a entamé une peine de 15 mois de prison pour avoir snobé une enquête sur la corruption. Il a rapidement dégénéré en pillages et destructions, poussés par une colère généralisée face à la pauvreté et aux inégalités qui persistent près de trois décennies après la fin du régime de la minorité blanche.

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