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Éthiopie / Après avoir gagné en première ligne, le Premier ministre revient à Addis-Abeba



En Éthiopie, le premier ministre n’est plus sur le champ de bataille. Selon un communiqué du cabinet, Abi Ahmed est de retour dans la capitale. Il est allé au front pour combattre l’attaque des rebelles du Tigré. De toute évidence, ses actions ont changé beaucoup de choses sur ses soldats et les camps de rébellion qui cherchaient le leur.

En Éthiopie, le Premier ministre Abi Ahmed a peut-être changé le cours de la guerre. Après être allé au front pour mener personnellement la contre-attaque contre la rébellion du Tigré le 25 novembre, il est retourné à Addis-Abeba. L’ancien colonel de l’armée a revêtu son équipement de combat pour se défendre contre les rebelles qui disaient pouvoir détruire la capitale à tout moment.

Près de deux semaines plus tard, le Premier ministre Abiy Ahmed (Abiy Ahmed) a inspiré les Éthiopiens. Il a promis qu’ils vaincraient la rébellion à fond. S’il est si confiant, tant mieux, car l’équilibre des pouvoirs sur le terrain peut changer. Lorsqu’il monte au front, son armée semble avoir perdu la bataille militaire. Les insurgés tigréens et leurs médias débordent d’enthousiasme. Addis-Abeba est à portée des rebelles.

 

Il est préoccupant que les pays occidentaux appellent leurs ressortissants à quitter le pays immédiatement. De loin, la situation de la fin du monde. Bizarrement, c’est le moment où le Premier ministre choisit de se battre. Sa première heure décisive en première ligne. En fait, l’ancien colonel du renseignement a remporté une énorme victoire localement. L’armée reprend de vastes étendues de terres perdues depuis des mois.

 

Mieux encore, des militaires éthiopiens ont récemment affirmé avoir pris le contrôle des villes stratégiques de Desi et de Cambocha, ainsi que du site hautement symbolique de Lalibela. Mais pour le Premier ministre, ce n’est que la « première étape ». « La bataille n’a pas encore été déterminée », a déclaré le Premier ministre dans un communiqué. De leur côté, les insurgés nient les gains de l’armée. Pour eux, l’armée reprend simplement les zones qui ont été abandonnées lors de la retraite stratégique.

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