L’attaquant de la Juventus, Cristiano Ronaldo n’est pas encore sorti de l’auberge, par rapport à son histoire de viol révélée en 2018. La superstar portugaise qui pensait avoir définitivement laissé derrière lui son accusation par un mannequin du nom de Kathryn Mayorga, devrait se préparer à nouveau pour sa défense. En effet, l’équipe d’avocats de la jeune dame qui l’accuse revient à la charge.
Le 27 septembre 2018, un mannequin du nom de Kathryn Mayorga, accusait Cristiano Ronaldo de l’avoir violée, en juin 2009, lors d’une soirée, à Las Vegas, aux États-Unis, où se trouvait la star, pour les vacances. Depuis, l’affaire semblait s’être réglée entre les deux parties avec un accord financier à hauteur d’environ 340 000 euros. Sauf qu’un nouveau rebondissement vient d’éclore dans cette affaire.
Les avocats de Kathryn Mayorga ont déclaré que cette dernière était « en incapacité mentale » au moment où elle a accepté l’offre de Cristiano Ronaldo. Selon des documents légaux révélés dans un article du journal The Sun, datant du 13 avril dernier, les avocats de la jeune dame auraient cherché à joindre ceux de CR7 et de son agent, Jorge Mende,s à de nombreuses reprises, via la plateforme Zoom.
Un des avocats de l’ancien mannequin a indiqué qu’il avait une liste de 10 personnes qu’il souhaitait interroger dans cette affaire. Concernant cette requête, Kendelee Works, l’avocate de Cristiano Ronaldo, a fait savoir qu’il en était hors de question et que c’était « totalement hors de propos à ce stade de la procédure ».
Lors d’un appel, les deux avocats ont même discuté d’un possible interrogatoire du footballeur portugais, ce qui a été refusé. En réponse aux attaques faites par les avocats de Kathryn Mayorga, l’équipe de Cristiano Ronaldo vient de faire une demande pour que tous les documents confidentiels, dont l’accord de non-divulgation signée par la jeune femme en 2010, soient protégés.
À signaler que Cristiano Ronaldo a continuellement clamé son innocence dans cette histoire, assurant que leur relation était consentie.