Après l’annonce de l’Angola de quitter l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) en raison de désaccords sur les quotas de production, la République du Congo a réaffirmé son engagement envers l’OPEP. Le ministre congolais des Hydrocarbures, Bruno Jean-Richard Itoua, a souligné dans un communiqué que le pays reste attaché à la politique stratégique définie par le Secrétaire général de l’OPEP et de l’OPEP+.
Dans une déclaration, Jean-Richard Itoua a mis en avant « l’harmonie remarquable » entre les membres de l’OPEP et de la Conférence ministérielle OPEP+. La République du Congo, membre à part entière de l’OPEP depuis 2018, a fixé un objectif de production pétrolière de 277 000 barils par jour pour 2024.
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« La République du Congo réaffirme son engagement constant dans la politique stratégique définie par le Secrétaire général de l’OPEP et de l’OPEP+. Nous soutenons fermement les efforts visant à stabiliser et à promouvoir le développement durable des marchés pétroliers, une approche cruciale pour l’avenir de notre secteur et l’économie mondiale », a déclaré Jean-Richard Itoua. Il a également souligné l’harmonie qui prévaut entre les membres de l’OPEP et de la Conférence ministérielle OPEP+.
Malgré le retrait de l’Angola, le Nigeria a aussi réaffirmé son engagement envers l’OPEP. Le ministre d’État chargé des ressources pétrolières, Heineken Lokpobiri, a déclaré que la position du Nigeria restait inébranlable. La République du Congo, membre à part entière de l’OPEP depuis 2018, s’est fixé un objectif de production pétrolière de 277 000 barils par jour pour 2024.