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« Comme des bêtes 2 » : Chiens et chats en folie à Manhattan



Au cinéma, la nécessité d’un épisode supplémentaire est généralement proportionnelle aux recettes du premier film de la série. C’est vrai même du Parrain. Comme des bêtes ayant rapporté, selon le site Box Office Mojo, 368 millions de dollars de par le monde, on ne s’étonnera pas de voir réapparaître à l’écran les chiens et chats de Manhattan qui, avec un lapin sociopathe, peuplaient ce film d’animation produit par Illumination, filiale d’Universal.

L’urgence économique du projet transparaît parfois, dans le désordre qui règne sur le scénario, par exemple. Heureusement, on dirait aussi qu’elle a affranchi l’équipe de préoccupations contraignantes, pour la laisser se consacrer essentiellement à la culture des gags.

Lire la critique : « Comme des bêtes » : Laurel et Hardy version canine

De toute façon, on s’en fiche un peu de savoir si Snowball (le lapin qui a la voix de Kevin Hart dans la version originale, Willy Rovelli pour Capitaine Pompon dans la VF) et Gidget (la chienne qui parle comme Jenny Slate, Dorothée Pousséo en VF) arriveront à sauver un bébé tigre des griffes d’un directeur de cirque dont la vilenie est indiquée par son accent russe. L’important est ailleurs, dans une intrigue secondaire (Comme des bêtes 2 n’en manque pas), qui voit la même Gidget apprendre à devenir chatte, sous la direction de l’impressionnante Chloe (Lake Bell, doublé en VF par Elodie Fontan).

Sentimentalité pédagogique

Quant au séjour à la campagne de Max (Patton Oswalt, Philippe Lacheau pour la VF) et Duke (Eric Stonestreet, en VF Julien Arruti), s’il permet à Harrison Ford dans la VO de faire ses débuts de voix animale, dans un rôle de chien de berger manifestement inspiré de John Wayne, il ne vaut pas ce qui a précédé – la visite de Max chez le vétérinaire, pour y faire soigner l’hyperanxiété qui le mine depuis la naissance du fils de sa maîtresse.

Ces séquences virtuoses auraient pu trouver leur place dans le premier film. Pour les voir il faudra faire avec les courses-poursuites un peu longuettes, les grands moments de sentimentalité pédagogique qui semblent devenues aussi indispensables à l’obtention d’un visa tout public que l’absence de sexe et de jurons. Ce n’est pas très cher payé.

Film d’animation américain de Chris Renaud (1 h 26). Sur le web : www.facebook.com/UniversalFR/, www.universalpictures.fr/micro/the-secret-life-of-pets-2

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