L’influenceuse camerounaise Coco Emilia, connue pour son style de vie extravagant et sa présence sur les réseaux sociaux, se retrouve au centre d’un scandale quelques semaines seulement après sa réconciliation publique avec son mari milliardaire, Francis Mvemba. Cette fois, la polémique tourne autour de sa fête de 34 ans et d’une prétendue arnaque impliquant une robe louée.

Biscuit de Mer, qui prétend diriger des entreprises très rentables, a publié des images de sa fête d’anniversaire sur les réseaux sociaux, la montrant dans une robe longue élégante et méticuleusement conçue. Cependant, il est apparu que le choix de la robe n’était pas aussi simple qu’il y paraissait.

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Dans un récit détaillé partagé en ligne, il a été révélé que la robe que portait Coco Emilia avait en fait été louée à une jeune créatrice locale nommée Inesta. Cet arrangement aurait été conclu dans des termes trompeurs, entraînant un malentendu important et l’indignation du public.

La vérité derrière la controverse sur la robe d’anniversaire de Coco Emilia

« Des précisions sur l’affaire de la robe portée par Biscuitdemer. Je serais un peu long, mais c’est nécessaire de lire pour mieux comprendre la situation.

L’équipe de Biscuitdemer contacte la jeune Inesta (la styliste en question) en lui envoyant les mesures de Biscuitdemer, tout en lui faisant comprendre qu’elle a urgemment besoin de robes pour son shooting photo et que ce serait un très grand honneur pour la styliste, car sa cliente lui ferait une grande publicité également sur ses pages officielles. Voilà donc pourquoi vous voyez la jeune Inesta coudre cette robe avec les mesures de Biscuitdemer et réajuster la robe le jour du shooting, car c’est ce jour-là que Biscuitdemer a vu et porté la fameuse robe et qu’elle a pu faire les réajustements.

Il faut bien préciser qu’Inesta est une jeune styliste qui se cherche. Ses robes sont soit achetées par ses clientes, soit louées, et la location peut passer par la publicité. La commande de l’équipe de Biscuitdemer est donc faite sans un seul franc. En clair, Inesta va confectionner deux robes (celle que vous voyez en photo et une autre en couleur bleue) à ses propres frais et gratuitement. Elle ne reçoit donc aucune compensation financière de Biscuitdemer, et logiquement les deux robes lui appartiennent.

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Le jour du shooting, elle reçoit plusieurs coups de fil de l’équipe de Biscuitdemer lui demandant de s’empresser d’arriver avec les robes, car Coco Emilia les attend pour les porter, ce qu’elle fait, et le shooting se passe normalement après les ajustements.

Le problème survient quand Biscuitdemer décide de publier les photos avec la robe en question sur ses pages plusieurs fois sans faire la publicité d’Inesta comme convenu, mais en donnant plutôt l’impression à ses abonnés que c’est une robe qu’elle s’est offerte à des millions. Pourtant, il était bel et bien question qu’en plus de cette location, elle devait faire la publicité d’Inesta… Chose que Biscuitdemer n’a pas faite et a refusé de faire.

Au final, sentant l’entourloupe et la filouterie, Inesta récupère ses robes à la fin du shooting pour rentrer chez elle comme après tous les shootings de ce genre. Sur le chemin du retour, elle reçoit des appels incessants de l’équipe de Biscuitdemer lui demandant pourquoi elle est partie avec les robes et qu’elle doit revenir avec elles, car ce sont des robes qu’elle doit offrir gratuitement à Biscuitdemer, et que c’est comme ça que ça se passe avec Coco Emilia : on lui offre gratuitement et en échange, elle fait les publicités.

Inesta refuse. L’équipe de Biscuitdemer lui fait comprendre qu’elle peut décider de ne jamais lui faire la publicité. Inesta leur répond que si la condition est d’offrir ses robes gratuitement, il vaut mieux qu’elle ne publie plus, car la visibilité qu’elle a aujourd’hui, elle ne l’a volée à personne ; c’est le fruit de son travail. Et d’ailleurs, Biscuitdemer a déjà publié les photos de sa robe sans même la mentionner, ce qui n’était pas le deal de départ et relève de la malhonnêteté.

Quand l’équipe de Biscuitdemer comprend qu’Inesta n’est pas dupe, ils lui disent de revenir donner les robes quand même et qu’elles lui seront remises après l’anniversaire de Coco Emilia. Sentant cette affaire déjà louche au départ, elle décide de ne pas y retourner et de continuer sa route chez elle avec ses robes. Elle demande aux gens de Biscuitdemer qu’ils peuvent avoir les robes à la seule condition qu’ils viennent eux-mêmes cette fois dans sa maison de couture déposer une garantie pour les robes avant de les prendre, car même la simple location n’a pas été payée.

L’équipe de Biscuitdemer, tentant de la convaincre, lui fait comprendre que même la perruque de Coco Emilia à son anniversaire lui a été offerte et même la robe de Bellange. La styliste refuse catégoriquement tout en insistant que ses robes s’achètent ou se louent, et la location est payante, mais vu comment la collaboration a débuté avec le faux, elle n’est plus intéressée.

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À sa grande surprise, la même Biscuit, par derrière, essaie d’attribuer son dur labeur à une autre en republiant une vidéo de la fameuse robe sur son Snap tout en faisant croire à ses abonnés que la robe vient de Bellange, ce qui est faux.

En gros, un schéma bien organisé dont seuls les Mvemba ont le secret… Même Chantal Biya, la première dame du Cameroun, à qui on offre souvent des cadeaux et des dons, donne quand même des enveloppes de soutien pour encourager les personnes qui lui font ces « dons » et « cadeaux », car rien n’est gratuit.

Toi qui te dis épouse de milliardaire, tu simules une commande que tu veux secrètement « gratuite » sans aucune compensation (pourtant tu es supposée être « riche » et épouse de « milliardaire »), tout en faisant passer la robe pour la tienne sans faire la simple publicité que tu es censée faire… Pire, comme tu n’as pas eu la robe gratuitement, tu fais croire à tes abonnés qu’elle vient d’une autre dame, Bellange, qui est ton amie (et non styliste mais revendeuse de robes importées).

Chez Inesta, tu voulais le beurre et l’argent du beurre. Une jeune fille se démarque par son travail positif et vous voulez en abuser. Toujours abuser des faibles (donc on doit vous offrir gratuitement les vêtements pour venir jouer aux femmes fortes et indépendantes sur la toile). Non seulement c’est méchant, mais c’est d’une bassesse inqualifiable. »