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Briser la blockchain sera-t-il un jour possible ?



La blockchain est cette technologie née de concert avec la cryptomonnaie. C’est un livre de comptes 2.0 qui permet de dater et de consigner des transactions monétaires sans jamais pouvoir les altérer. Ainsi, rien ni personne ne peut changer une blockchain une fois qu’un de ses blocs a été validé par l’algorithme. Une nouvelle sécurité qui permet de grands espoirs.

Pourtant, à peine la technologie se développe que l’on parle déjà d’obsolescence de la blockchain. Mais qu’est-ce qui pourrait bien briser la garde d’une technologie que l’on dut pour le moment inviolable ? Éléments de réponse.

IMAGE>>https://cdn.pixabay.com/photo/2017/08/15/08/53/bitcoin-2643159_960_720.jpg<<Photo par geralt, CC0

Légende : Le Bitcoin est devenu une des principales cryptomonnaies sur la planète.

La blockchain, un système bancaire 2.0

La cryptomonnaie est une réponse à la faillite des banques après la crise économique de 2008. Pour permettre une démocratisation de la monnaie, elle a donc été pensée pour être libre et multiple. Aujourd’hui, il existe plusieurs grandes cryptomonnaies, à l’image de l’Euro ou du Dollar. Pour qu’un tel système puisse rester viable, il fallait une technologie de sécurisation innovante et plus résistante à la fraude que celles existantes.

Afin que le marché se développe, il fallait ainsi assurer la sécurité des transferts de cryptomonnaies comme leur maintien dans un réseau fiable. La blockchain était la réponse parfaite. Avec une accessibilité extrêmement grande, elle assure une transparence bénéfique à la confiance des financiers. Mais plus encore, c’est son aspect irréversible qui lui octroie son succès.

Le tout, sans passer par une tierce personne comme le banquier pour permettre un virement. Ici, les gérants, ce sont les acteurs et personne d’autre.

Il faut visualiser la blockchain comme un ensemble de petites opérations mises les unes avec les autres et regroupées en bloc. Une fois un bloc « validé », il sera ajouté aux autres, d’où l’idée de chaîne. Tous ses maillons forment donc un ensemble qui peut être consulté, mais jamais altéré. Tout va bien dans le meilleur des mondes alors.

Les entreprises investissent des milliards dans la blockchain, sécurisant ainsi une partie de leurs possessions en dehors du système bancaire classique qui a déjà prouvé ses limites. Le particulier peut aussi se mettre à la blockchain et des grands sportifs comme Lionel Messi acceptent dorénavant d’être en partie payés avec de la cryptomonnaie.Une véritable révolution qui offre une alternative fiable et ouverte au système bancaire.

Mais dans cet océan d’enthousiasme, quelques voix s’élèvent pour prévenir du danger qui guette. Avec la puissance de calcul des ordinateurs quantiques pilotés par des intelligences artificielles dernier cri, la blockchain actuelle pourrait être en danger.

L’ordinateur quantique, une nouvelle donne

Après avoir écrasé les génies du go, du poker, ou des échecs, la prochaine étape naturelle de l’intelligence artificielle sera sans nul doute les autres machines. Si les codes primitifs sont déjà des jeux d’enfants pour des I.A. fonctionnant en deep learning, la blockchain reste pour le moment extrêmement solide.

Mais l’arrivée de l’ordinateur quantique risque de changer la donne. Et pour de bon.

Un ordinateur quantique obéit aux lois de la physique quantique. Le Qubit est ainsi capable d’être 1 ou 0, multipliant de façon exponentielle sa puissance par rapport à un bit consensuel.

IMAGE>>https://cdn.pixabay.com/photo/2018/09/09/08/36/network-3664108_960_720.jpg<<Photo par geralt, CC0

Légende : Avec la blockchain, les intermédiaires sont supprimés, ce qui agace naturellement les banques. 

En associant les deux technologies qui se répondent parfaitement, l’intelligence artificielle sera dotée d’une capacité incroyable de calcul qui dépasse notre entendement. Pour comprendre pourquoi l’association des deux est un danger potentiel, il faut imaginer le cerveau d’un homme qu’on aurait placé dans un corps plus rapide, plus fort et plus résistant. Et l’on parle ici de centaines de milliers de fois plus rapide ou puissant. Une sorte de super-héros numérique en somme.

Ces machines pourraient potentiellement briser les blockchains avec une facilité déconcertante. Mais cela relève pour le moment plus de la science-fiction que de la science. Et la raison est simple.

L’avancée d’une technologie pousse l’autre à se dépasser

La technologie de la blockchain, comme celle de l’intelligence artificielle et de l’ordinateur quantique est en plein essor. Des milliards sont donc investis dans la recherche et si l’ordinateur quantique n’en est qu’à ses balbutiements pratiques, la blockchain fonctionne déjà très bien. Dès lors, tout comme l’intelligence artificielle, les armes de la blockchain vont s’améliorer et se diversifier avec le temps.

Quand un ordinateur quantique piloté par une intelligence artificielle en deep learning se mettra à vouloir s’attaquer à une blockchain, celle-ci se sera sans doute déjà adaptée et aura aiguisé ses défenses contre les attaques cybernétiques. Une saine compétition qui promet des avancées fulgurantes dans les décennies à venir.

 

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