Malgré les accusations et la grosse pression croissante du Maroc, la ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez, n’a pas souhaité répondre à une question sur les « menaces » proférées par le royaume chérifien dans le communiqué de ce samedi 8 mai, à travers le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita.
Le Maroc a du mal à comprendre la position de l’Espagne, en ce qui concerne l’affaire du chef du Front du Polisario, Brahim Ghali. La ministre espagnole des Affaires étrangères, Arancha Gonzalez, n’a pas souhaité répondre à une question sur les « menaces » proférées par le royaume chérifien dans le communiqué de ce samedi 8 mai, à travers son homologue marocain, Nasser Bourita.
« Je n’ai rien à ajouter de ce que j’ai déjà dit » à ce propos, a brièvement déclaré Arancha Gonzalez, depuis le Paraguay où elle effectue une visite de travail, en réponse à une question sur ce sujet.
🚀Annonces pour Nos Partenaires !
Créez votre site web professionnel à un prix imbattable avec 3Vision-Group.
Découvrez l'OffreCommandez une application mobile sur mesure et transformez vos idées en réalité !
Commandez MaintenantTrès irrité par l’accueil de Brahim Ghali sous une fausse identité et sans en aviser au préalable les autorités marocaines, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a clairement souligné que « le Maroc tirera toutes les conséquences » de cette décision prise par le gouvernement de coalition de gauche. Un passage qui a focalisé l’attention des médias ibériques.
En effet, depuis le 22 avril, la ministre espagnole des Affaires étrangères, ne cesse d’avancer, à chacune de ses apparitions devant les médias, des « raisons humanitaires » pour justifier l’hospitalisation du président groupe séparatiste du Sahara Occidental, Brahim Ghali, dans un hôpital public à Logroño. Une réponse qui n’a pas convaincu Rabat.