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Adama Bictogo met en garde Laurent Gbagbo



 

En Côte d’Ivoire, la route pour la réconciliation nationale n’est pas encore achevée. En effet, ce lundi 12 juillet, Adama Bictogo, le secrétaire exécutif du RDHP, a vivement réagi à l’intervention de Laurent Gbagbo, du samedi 10 juillet, à Daoukro et met l’opposant en garde.

 

 

La réconciliation nationale est entreprise par toute la classe politique ivoirienne. Mais chacun peut y aller à sa manière et à sa compréhension des choses. Cette réalité devient plus apparente lorsque le pouvoir et l’opposition en Côte d’Ivoire s’efforcent de s’entendre sur les termes de référence d’une coexistence harmonieuse dans un pays apaisé.

 

Du 10 au 11 juillet 2021, les anciens chef-d’Etat ivoiriens, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, ont appelé le chef de l’Etat Alassane Ouattara à promouvoir la réconciliation nationale par un dialogue national, lors de leur rencontre à Daoukro

 

Lors d’une conférence de presse lundi, Adama Bictogo n’a pas du tout été tendre avec les deux puissants leaders de l’opposition en Côte d’Ivoire. « Nous n’avons pas besoin d’un dialogue national. Toutes les institutions de la République sont en place et fonctionnent bien et nous ne sommes pas un pays en crise. », a défait le leader de l’Alliance pour la démocratie et la paix (RHDP).

 

Le représentant d’Abboville a également condamné le fondateur du Front populaire de Côte d’Ivoire (FPI) pour avoir tendu à raconter le passé douloureux vécu par les Ivoiriens, espérant formellement dire : « Je veux que les gens sachent que le mécontentement du président Alassane Ouattara à l’égard de l’opposition ne soit pas vu comme une faiblesse, mais comme une volonté de travailler dur pour la paix et la cohésion sociale dans notre pays.»

 

 

Si Laurent Gbagbo affirmait, samedi, que la « réconciliation » résidait avant tout dans le respect des textes de loi, Adama Bictogo a, quant à lui, estimé que ce terme recouvrait surtout le « développement économique » tout comme la « stabilité » et qu’il lui préférait d’ailleurs celui de « cohésion sociale. »

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