Nicolas Sarkozy et ses co-accusés auront tout tenté pour essayer d’ajourner le procès intenté contre eux pour corruption et trafic d’influence. La Justice française a rejeté leur recours introduite en ce sens.
Le procès de l’ancien président français Nicolas Sarkozy qui a été interrompu le 23 novembre pour une question procédurale va reprendre la semaine prochaine. Lundi 30 novembre, Sarkozy, me Thierry Herzog et le magistrat Gilbert Azibert devront commencer à répondre aux juges.
En effet, après une expertise médicale, Gilbert Azibert a été déclaré apte à comparaître et devra se rendre au tribunal judiciaire de Paris. Le co-accusé de Sarkozy avait introduit un recours visant à obtenir un renvoi de l’ouverture de l’audience. Mieux, il aurait souhaité dans sa requête ne pas participer en personne à son procès.
Les Juges se basant sur les résultats de l’expertise médicale ont plutôt exigé qu’il se présente en personne lors du procès le 30 novembre. Cette décision est un premier camouflet pour Nicolas Sarkozy qui use de toutes les voies procédurales pour retarder l’ouverture du procès dans le fond.