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10 000 pas par jour : l’effet protecteur surprenant de la marche sur le cerveau



Une nouvelle étude montre que marcher environ 4 000 pas par jour peut réduire le risque de démence de 25 %.

Combien de pas par jour peuvent aider à compenser le risque de démence ? Les chercheurs ont peut-être maintenant la réponse. La démence touche plus de 55 millions de personnes dans le monde et est la septième cause de décès dans le monde. À mesure que la proportion de personnes âgées dans la population âgée augmente, le nombre de cas de démence augmente également. Il est de plus en plus évident que l’exercice régulier est non seulement bénéfique pour la santé globale, mais qu’il est également l’un des moyens les plus efficaces de réduire le risque de démence.

Bonne nouvelle pour ceux qui luttent pour intégrer l’exercice dans leur vie quotidienne, une nouvelle étude montre que marcher environ 4 000 pas par jour peut réduire le risque de démence de 25 %.
En augmentant vos pas quotidiens à un peu moins de 10 000 pas, votre risque de démence peut être réduit de moitié. À mesure que la population mondiale vieillit, les cas de démence sont également en augmentation dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 55 millions de personnes vivent actuellement avec la démence, et ce nombre devrait atteindre 139 millions d’ici 2050.

Les principaux facteurs de risque de démence sont le vieillissement et la génétique. La démence est plus fréquente chez les personnes de plus de 75 ans, et les parents proches atteints de démence courent un risque accru de développer la maladie. D’autres facteurs de risque indépendants de notre volonté incluent le sexe : les femmes sont plus à risque que les hommes, et la race. Cependant, les changements de mode de vie, tels que l’augmentation de l’exercice, le contrôle de la pression artérielle et la stimulation cérébrale, peuvent réduire le risque de démence, même chez les personnes présentant un ou plusieurs facteurs de risque.

Une approche large et saine qui tient compte du mode de vie, de l’alimentation, de l’exercice, de la stimulation cognitive, de la socialisation et du sommeil fait toute la différence. Beaucoup d’entre eux peuvent être efficaces même s’ils sont mis en œuvre plus tard dans la vie. S’entraîner ne nécessite pas nécessairement de transpirer à la salle de sport ou de s’adonner à un nouveau sport.

Le simple fait d’augmenter le nombre de pas qu’une personne fait chaque jour peut réduire son risque de démence jusqu’à 50 %, selon une étude récente publiée dans la revue JAMA Neurology.

Comment se passe la recherche ?

L’étude a utilisé des données de la UK Biobank. L’âge moyen des 78 430 participants était de 61,1 ans, avec 44,7 % d’hommes et 55,3 % de femmes. Tous les participants étaient exempts de maladies cardiovasculaires et de démence lorsqu’ils sont entrés dans l’étude. Les chercheurs ont suivi les participants après une médiane de 6,9 ​​ans (6,4-7,5 ans). Pour l’étude, les participants devaient porter un accéléromètre sur leur poignet dominant 24h/24 et 7j/7 pour mesurer leur activité physique. Les chercheurs ont ensuite utilisé un algorithme pour compter les pas à partir des données recueillies par l’accéléromètre. Lors de l’analyse des données, les chercheurs ont pris en compte des variables telles que l’âge, le sexe, l’origine ethnique, le statut socio-économique, le statut tabagique, l’état de santé général et l’alimentation. Lors du suivi, 866 participants (1,1 %) ont développé une démence.

Conclusion de l’analyse

Il s’agit d’une étude importante qui peut aider à éclairer les directives de santé publique sur la quantité d’activité physique nécessaire pour obtenir des bienfaits pour la santé. Ces résultats ne sont pas surprenants étant donné que nous disposons de données solides reliant l’activité physique à une meilleure cognition. L’une des forces de cette étude est qu’elle a utilisé une mesure objective et largement comprise du nombre de pas, plutôt que des données autodéclarées. Les chercheurs ont constaté que le nombre de pas et l’intensité des pas étaient associés à un risque plus faible de démence. Pour tirer le meilleur parti, en réduisant le risque de démence de 50 %, les participants devaient marcher environ 9 800 pas par jour. En dehors de ce nombre, aucun autre avantage n’a été trouvé.

Cependant, la bonne nouvelle pour ceux qui ne peuvent pas marcher autant de pas est que faire seulement 3 826 pas par jour réduit le risque de démence de 25 %. Toute activité physique peut aider à réduire votre risque. Il n’est jamais trop tard pour commencer, et même un effort relativement faible peut être bénéfique et peut augmenter à mesure que l’endurance s’améliore. Les pas délibérés, définis comme plus de 40 pas par minute, comme en marchant, ont renforcé l’association avec un risque réduit de démence.

Il y a ici un effet « dose », une marche plus vigoureuse et volontaire étant plus bénéfique qu’une marche tranquille. De plus, les gens marchent souvent (marcher et parler) avec d’autres personnes, ce qui permet l’intégration de composantes sociales et d’interaction.

Une nouvelle étude montre que marcher environ 4 000 pas par jour peut réduire le risque de démence de 25 %.

Combien de pas par jour peuvent aider à compenser le risque de démence ? Les chercheurs ont peut-être maintenant la réponse. La démence touche plus de 55 millions de personnes dans le monde et est la septième cause de décès dans le monde. À mesure que la proportion de personnes âgées dans la population âgée augmente, le nombre de cas de démence augmente également. Il est de plus en plus évident que l’exercice régulier est non seulement bénéfique pour la santé globale, mais qu’il est également l’un des moyens les plus efficaces de réduire le risque de démence.

Bonne nouvelle pour ceux qui luttent pour intégrer l’exercice dans leur vie quotidienne, une nouvelle étude montre que marcher environ 4 000 pas par jour peut réduire le risque de démence de 25 %.
En augmentant vos pas quotidiens à un peu moins de 10 000 pas, votre risque de démence peut être réduit de moitié. À mesure que la population mondiale vieillit, les cas de démence sont également en augmentation dans le monde. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), environ 55 millions de personnes vivent actuellement avec la démence, et ce nombre devrait atteindre 139 millions d’ici 2050.

Les principaux facteurs de risque de démence sont le vieillissement et la génétique. La démence est plus fréquente chez les personnes de plus de 75 ans, et les parents proches atteints de démence courent un risque accru de développer la maladie. D’autres facteurs de risque indépendants de notre volonté incluent le sexe : les femmes sont plus à risque que les hommes, et la race. Cependant, les changements de mode de vie, tels que l’augmentation de l’exercice, le contrôle de la pression artérielle et la stimulation cérébrale, peuvent réduire le risque de démence, même chez les personnes présentant un ou plusieurs facteurs de risque.

Une approche large et saine qui tient compte du mode de vie, de l’alimentation, de l’exercice, de la stimulation cognitive, de la socialisation et du sommeil fait toute la différence. Beaucoup d’entre eux peuvent être efficaces même s’ils sont mis en œuvre plus tard dans la vie. S’entraîner ne nécessite pas nécessairement de transpirer à la salle de sport ou de s’adonner à un nouveau sport.

Le simple fait d’augmenter le nombre de pas qu’une personne fait chaque jour peut réduire son risque de démence jusqu’à 50 %, selon une étude récente publiée dans la revue JAMA Neurology.

Comment se passe la recherche ?
L’étude a utilisé des données de la UK Biobank. L’âge moyen des 78 430 participants était de 61,1 ans, avec 44,7 % d’hommes et 55,3 % de femmes. Tous les participants étaient exempts de maladies cardiovasculaires et de démence lorsqu’ils sont entrés dans l’étude. Les chercheurs ont suivi les participants après une médiane de 6,9 ​​ans (6,4-7,5 ans). Pour l’étude, les participants devaient porter un accéléromètre sur leur poignet dominant 24h/24 et 7j/7 pour mesurer leur activité physique. Les chercheurs ont ensuite utilisé un algorithme pour compter les pas à partir des données recueillies par l’accéléromètre. Lors de l’analyse des données, les chercheurs ont pris en compte des variables telles que l’âge, le sexe, l’origine ethnique, le statut socio-économique, le statut tabagique, l’état de santé général et l’alimentation. Lors du suivi, 866 participants (1,1 %) ont développé une démence.

Conclusion de l’analyse
Il s’agit d’une étude importante qui peut aider à éclairer les directives de santé publique sur la quantité d’activité physique nécessaire pour obtenir des bienfaits pour la santé. Ces résultats ne sont pas surprenants étant donné que nous disposons de données solides reliant l’activité physique à une meilleure cognition. L’une des forces de cette étude est qu’elle a utilisé une mesure objective et largement comprise du nombre de pas, plutôt que des données autodéclarées. Les chercheurs ont constaté que le nombre de pas et l’intensité des pas étaient associés à un risque plus faible de démence. Pour tirer le meilleur parti, en réduisant le risque de démence de 50 %, les participants devaient marcher environ 9 800 pas par jour. En dehors de ce nombre, aucun autre avantage n’a été trouvé.

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Cependant, la bonne nouvelle pour ceux qui ne peuvent pas marcher autant de pas est que faire seulement 3 826 pas par jour réduit le risque de démence de 25 %. Toute activité physique peut aider à réduire votre risque. Il n’est jamais trop tard pour commencer, et même un effort relativement faible peut être bénéfique et peut augmenter à mesure que l’endurance s’améliore. Les pas délibérés, définis comme plus de 40 pas par minute, comme en marchant, ont renforcé l’association avec un risque réduit de démence.

Il y a ici un effet « dose », une marche plus vigoureuse et volontaire étant plus bénéfique qu’une marche tranquille. De plus, les gens marchent souvent (marcher et parler) avec d’autres personnes, ce qui permet l’intégration de composantes sociales et d’interaction.

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