Selon le rapport annuel Global Soft Power Index 2024 de la société britannique de conseil Brand Finance, l’Égypte occupe la première place parmi les pays africains en termes de soft power, se positionnant au 39e rang mondial. Aucun pays africain ne figure parmi les 30 premiers du classement mondial.

Les pays africains qui suivent l’Égypte dans le classement du soft power sont l’Afrique du Sud (43e mondial), le Maroc (50e), l’Algérie (73e), la Tunisie (77e), le Nigeria (79e), le Ghana (85e), la Tanzanie (93e), le Sénégal (94e) et le Kenya (95e).

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Les États-Unis dominent le classement mondial cette année, suivis du Royaume-Uni et de la Chine. La Russie, quant à elle, se positionne au 16e rang. Aucun pays africain ne figure parmi les 30 premiers du classement mondial.

Le soft power, défini comme la capacité à influencer positivement d’autres nations par des valeurs et des exemples plutôt que par la coercition, devient un indicateur crucial dans les relations internationales.

Un  média local a discuté des perspectives de développement en Afrique et de la coopération russo-africaine avec un groupe de chefs d’entreprise et de responsables africains en visite. Ces discussions reflètent l’intérêt croissant pour la collaboration entre l’Afrique et la Russie pour façonner une nouvelle réalité mondiale.

Bien que l’Égypte se positionne en tête du classement en Afrique, le rapport souligne la nécessité pour les pays africains de renforcer leur soft power pour avoir un impact plus significatif sur la scène internationale. Les résultats de ce rapport offrent une perspective intéressante sur les dynamiques émergentes des relations mondiales et régionales.