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VIH/SIDA : un deuxième patient officiellement guéri



Le nouveau coronavirus a tellement occupé les pensées humaines qu’on parle déjà moins des autres maladies qui existaient avant et qui à leurs époques faisaient craindre le pire . C’est le cas par exemple du VIH /SIDA qui, depuis un temps, est sombré dans les commentaires au profit du nouveau Covid 2019. Mais le virus du SIDA refait quand-même surface avec une très bonne nouvelle. En effet, un deuxième patient est déclaré guéri du virus autrefois incurable.

 

L’information émane de la revue médicale THE LANCET HIV, qui décrit succinctement le cas du « patient de Londres », venant ainsi d’être le second séropositif devenu séronégatif. Atteint du SIDA depuis 2003, le « patient de Londres » est en rémission depuis 30 mois consécutifs, soit une durée de deux ans et demi. Même si ce n’est pas nouveau, c’est quelque qui n’arrive pas très fréquemment, puisque le dernier cas pareil remonte à 10 ans déjà. Il s’agissait pour le plus ancien cas, du « patient de Berlin ». Ce n’est pas invraisemblable, puisqu’après plusieurs analyses médicales, les médecins ne trouvent plus le virus du SIDA dans le sang du patient. Le « patient de Londres » s’avère donc complètement guéri du VIH /SIDA.

 

Pour être sûrs de la conclusion prétendue, les médecins ont effectué des analyses dont les dernières du 4 mars 2020 n’ont montré aucun signe de la maladie. Pas de traces du matériel génétique du Syndrome d’immunodéfiscience acquise dans le plasma, ni dans le liquide cérébrospinal, ni même dans les tissus intestinaux et lymphoïdes. C’est d’ailleurs ce qu’il en est depuis les 30 derniers mois écoulés.

 

Ainsi, les scientifiques pensent-ils que le matériel génétique du virus intégré dans le génome ne sont pas capables de réformer des visions viables, et donc peuvent être considérés à titre de « fossiles » du virus.

 

Exactement comme cela a été le cas de Timothy Brown, le « patient de Berlin » guéri en 2011, le nouveau aussi, le « patient de Londres » a reçu une greffe de allogénique de cellules souches hématopoïétiques qui n’expriment pas la protéine CCR5. Cette dernière est une protéine qui se trouve à la surface des leucocytes et permet au virus d’entrer dans la cellule. Chose curieuse, il se trouve que certaines personnes présentent naturellement cette mutation et sont ainsi protégées d’une infection du VIH.

 

Il est à rappeler que le VIH est un rétrovirus qui a pour particularité d’infecter des cellules du système immunitaire, des globules blancs, ce qui aide à rendre faibles les organes de défense de l’organisme. Selon les chiffres rendus par l’OMS, 940 000 des plus de 36 millions de personnes infectées en 2017 sont décédées d’une cause liée à ce virus.

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