Les choses n’arrangent plus le président sortant, candidat malheureux aux élections, Donald Trump. Suite aux violences enregistrées au Capitole à Washington mercredi le 6 janvier, nombreux sont les hommes politiques qui réclament la destitution du président Trump. Même au sein de son parti, les Républicains ont également demandé sa destitution. La journaliste Sofia Dollé fait le point sur ce possible selon Franceinfo.

A en croire le site d’information qui cite la journaliste, « Donald Trump est jugé comme étant l’un des responsables des violences qui ont eu lieu au Capitole à Washington, mercredi 6 janvier, après un discours très virulent avant les débordements ».

La journaliste de France Télévisions Sofia Dollé rapporte que « même au sein du Parti républicain, de plus en plus de voix « demandent la destitution » du président américain.

Recours aux textes

Créé en 1967, l’article 4 du 25e amendement de la constitution américaine stipule « que si le vice-président et une majorité de son cabinet jugent le président incapable d’exercer les pouvoirs et les devoirs liés à sa fonction », précise Sofia Dollé, ils peuvent le signifier au Congrès par écrit. Dans ce cas-là, ce serait le vice-président qui deviendrait président par intérim »« .

En tenant compte aux textes, ce scénario n’est pas possible car Donald Trump pourrait faire taire la procédure en envoyant un courrier aux deux chambres, assurant qu’il est en capacité de gouverner.

L’on pourrait dire à cet effet que sa destitution n’est pas encore actée.