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Une Sherbrookoise portée disparue au Burkina Faso



Une Sherbrookoise et son compagnon de voyage italien sont portés disparus au Burkina Faso, dans le nord-ouest de l’Afrique.

Les proches d’Édith Blais, 34 ans, et de son ami Luca Tacchetto, 30 ans, sont sans nouvelles d’eux depuis trois semaines.

La jeune femme avait publié des photos de son périple sur Facebook le 15 décembre dernier, deux jours après que sa mère lui eut parlé pour la dernière fois.

Selon une page Facebook créée par sa soeur, « les communications entre les deux voyageurs et leurs familles respectives étaient très fréquentes et ont cessé abruptement ».

En entrevue sur les ondes du 98,5 FM samedi matin, la mère d’Édith Blais, Jocelyne Bergeron, a précisé que le tandem semble avoir disparu entre Bobo-Dioulasso, la deuxième ville en importance du Burkina Faso, et la capitale, Ouagadougou.

Ils devaient se rendre au Togo pour prendre part à un projet de reforestation, mais rien n’indiquerait qu’ils ont quitté le Burkina Faso.

Sur son site destiné aux voyageurs, le gouvernement du Canada recommande d’éviter tout voyage non essentiel au Burkina Faso en raison de la menace terroriste. Il recommande aussi d’éviter tout voyage près des frontières avec le Mali, le Bénin et le Togo, à nouveau à cause du terrorisme et des risques d’enlèvement.

Jocelyne Bergeron souligne que sa fille est toutefois une voyageuse avertie.

« Édith voyage depuis qu’elle a l’âge de 18 ans. Elle a fait ses recherches avant de partir », a fait valoir Mme Bergeron. « Peut-être qu’ils n’étaient pas complètement conscients des problèmes, mais je sais qu’elle avait aussi des gens qu’elle connaissait un peu partout sur son chemin. »

Le gouvernement canadien a été avisé, mais Jocelyne Bergeron dénonce la lenteur de ses démarches.

« J’appelle les Affaires étrangères aux deux jours et ils n’ont jamais de nouvelles. Il n’y a rien qui bouge », se désole-t-elle.

Mais maintenant que la nouvelle est relayée par les médias, Jocelyne Bergeron multiplie les entrevues dans l’espoir de faire avancer les choses.

« Plus on en parle, plus on a de chance de les retrouver », croit-elle

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