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Une maman frappe la fille de 8 ans de son petit ami si fort qu’elle lui déchire les intestins



Il est impensable pour la plupart des gens de heurter ou faire du mal volontairement à un enfant. Mais il est essentiel de ne pas ignorer la réalité: les abus et les violences envers les enfants existent bel et bien partout dans le monde. Cette maman frappe la fille de son petit ami si fort au ventre que ses coups provoquent une perforation intestinale. Voici cette histoire troublante rapportée par nos confrères du journal le New York Post.

C’est dans l’état de l’Illinois dans le Midwest aux États-Unis que vivait Rica, une petite fille de 8 ans. Son père divorcé était en relation avec Cynthia Baker, 41 ans, elle-même mère de 4 enfants.

Une maman sadique
Rica est une petite fille victime de violences. La petite amie de son père Cynthia Baker n’hésite pas à la frapper violemment. Elle s’en amuse et malheureusement pour Rica, Cynthia la brutalise la fois de trop. Rica reçoit un coup si violent à l’estomac que cela entraîne une perforation au niveau de ses intestins.

Selon le journal The Sun, Rica serait restée jusqu’à 5 jours sans aucun soin. La petite fille s’est retrouvée à vomir son dîner, avant de s’évanouir et de tomber des escaliers. La petite fille a été amenée aux urgences en vain, puisqu’elle décède tragiquement à l’hôpital. Le médecin légiste aurait retrouvé sur son corps près de 50 marques causées par des violences.

C’est durant le procès de Cynthia Baker que des vidéos auraient été visionnées. On y verrait dans l’un d’entre elles Cynthia prendre la tête de la petite fille et la cogner contre le mur. Toujours selon le média britannique, on aurait entendu Cynthia rire lors de ces séances d’abus et de violence. Elle aurait même demandé à Rica dans l’une de ces sessions filmées si elle devrait lui mettre un collier pour animaux.

Des violences gratuites
« C’est impensable pour la plupart, mais pour Rica, c’était normal. Dans la résidence 407 Stanhope, Rica n’a été traitée avec aucune dignité et ses malheurs ont servi de divertissement à toute la famille », déclare la procureure adjointe de l’état Erika Reynolds lors du procès.

Au tribunal, nombre de questions ont émergé quant à ces violences récurrentes qui sont passées inaperçues. Selon les informations recueillies, la mère de 41 ans aurait dupé les services sociaux avec des excuses expliquant œil au beurre noir et lèvre gonflées.

Le jury aurait jugé Cynthia coupable de meurtre haineux aggravé de cruauté gratuite. La maman de 41 ans aux quatre enfants pourrait faire face à une sentence de prison à vie.

Les violences infantiles
Si la violence contre les enfants est un phénomène vastement répandu, il n’en demeure pas moins difficile à quantifier en raison du jeune âge des victimes. D’autant plus que ces dernières peuvent avoir du mal à communiquer leur mal-être et à s’ouvrir sur ces maltraitances lorsqu’elles proviennent d’un membre ou d’un proche de la famille.

C’est dans un article de RMC qu’un sondage réalisé par l’association l’Enfant Bleu est mentionné. Les chiffres qui y sont décrits font froid dans le dos : 47 % des Français estiment probable qu’il y ait dans leur entourage au moins une personne ayant subi ou étant en train de subir des maltraitances infantiles. Encore plus inquiétant, près de la moitié de ces personnes ignorent ce fait et n’agissent pas en conséquences de leurs soupçons.

Si vous avez des doutes concernant ce que subit un enfant dans votre entourage, il est impératif d’agir même si cela peut mener au fait de se tromper. Il vaut mieux risquer une erreur de votre part plutôt que le bien être d’un enfant. Pour communiquer avec les plus jeunes et essayer d’identifier des signes de maltraitance, le Dr Caroline Rey-Salmon, pédiatre et médecin légiste recommande d’identifier des changements au niveau du comportement. Si l’enfant est généralement enjoué ou à l’opposé très calme, un changement de son attitude doit absolument susciter des interrogations. L’essentiel étant d’ouvrir la voie à la communication pour permettre à une victime potentielle de partager son mal-être et de dénoncer toute tentative d’abus ou de violences.

Si vous êtes témoins d’une maltraitance infantile, le gouvernement propose de contacter le 119. Ce numéro est gratuit et l’appel peut être anonyme.

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