En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Découvrez nos offres pour annonceurs - Publicité 4 Publicité 4 En savoir plus - Publicité 2 Publicité 2 Visitez 3Vision Group - Publicité 3 Publicité 3 banner Publicité 3

Une infirmière aurait voulu empoisonner cinq bébés



Une infirmière qui est soupçonnée d’avoir voulu empoisonner cinq bébés en leur injectant de la morphine à la maternité a été incarcérée par la justice allemande.

Christof Lehr, le procureur de la ville d’Ulm, dans le sud de l’Allemagne, a déclaré aux journalistes: “Un mandat d’arrêt a été lancé contre l’infirmière pour tentative de meurtre et blessures graves dans cinq cas”.

Alors que le procureur a assuré aux journalistes que l’infirmière était pleinement consciente qu’elle aurait pu tuer les enfants en question, celle-ci a toutefois décidé de nier les faits qui lui sont reprochés et qui auraient eu lieu dans la nuit du 19 au 20 décembre.

C’est grâce à l’intervention en urgence de l’équipe médicale que les cinq bébés ont pu être sauvés, alors que ceux-ci, seulement âgés entre un jour et cinq semaines, étaient aux prises avec des problèmes respiratoires aigus, potentiellement mortels.

La première hypothèse qui expliquait ces cinq cas simultanés était que les bébés avaient souffert d’une infection, mais comme l’a expliqué le chef de la police Bernhard Weber, des analyses plus poussées ont révélé par la suite qu’il y avait présence dans les tests d’urine de traces de morphine, alors qu’aucun des nouveau-nés n’était censé en recevoir.

C’est lors de fouilles qui ont été effectuées mardi que les enquêteurs ont découvert une seringue orale contenant du lait maternel dans le casier de l’infirmière incriminée. De nouvelles analyses auront été pratiquées sur la seringue et comme l’a indiqué le chef Weber, “la terrible suspicion: la seringue contenait de la morphine”.

Il faut toutefois demeurer prudent, car étant donné que l’enquête ne fait que débuter, il n’est pas à exclure qu’un autre individu ait pu placer la seringue en question dans le casier de l’infirmière incriminée.

Enfin, le directeur de l’hôpital, Klaus-Michael Debatin, a déclaré aux médias locaux: “Nous sommes tous bouleversés. […] Nous sommes autorisés à penser qu’un acte porté par une énergie criminelle a été perpétré”.

Rejoignez DOINGBUZZ PREMIUM

Découvrez un monde de contenus exclusifs et d'opportunités.

Accédez Maintenant

Lancez-vous dans une nouvelle aventure avec DoingBuzz

Découvrez une multitude d'offres d'emploi et de bourses d'études adaptées à votre parcours.

doingbuzz DIRECT
Mots-clés associés à l'article :

Newsletter

Abonnez-vous et accédez à tous nos articles en premier !