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Une élève de 9 ans violée par son répétiteur ; voici la sentence



A Dabou, une ville ivoirienne située dans la région des Grands Ponts, un répétiteur  a violé son élève de 9 ans en absence de ses parents, alors qu’il était censé lui donner des cours.  Dans une note publiée sur les réseaux sociaux ce vendredi 8 octobre 2021, le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) raconte comment ce violeur à domicile a été interpellé.

Répétiteur

Répétiteur

Plus un jour ne se passe sans que le CNDH  ne soit saisi de cas de violence basé sur le genre. Le dernier remonte au vendredi 1er octobre. Ce jour-là, dans la région des Grands Ponts, la Commission régionale des droits de l’homme (CRDH) de Dabou est saisie par téléphone d’un acte de viol sur une petite fille de 9 ans, la présidente et ses officières aux Droits de l’homme se rendent immédiatement sur les lieux.

La nommée K.A.G.E en classe de CM1, vient de vivre les pires moments de sa vie. Agée d’à peine 9 ans, elle a fait les frais d’une immonde personne qu’elle a eu le malheur de la trouver sur son chemin. Il s’agit d’un jeune homme de 26 ans répondant aux initiales L.J.N. Choisi en effet comme répétiteur par les parents de la petite fille pour l’aider dans ses révisions à la maison, ce prédateur sexuel va abuser de l’innocente fillette.

Selon les informations rendues publiques par le Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH) de Côte d’Ivoire, ce vendredi 8 octobre 2021, après quelques jours de séances de révision, la gamine se plaint de douleurs pelviennes. « Conduite au dispensaire par ses parents, la sage-femme constate que la gamine a été violée et que l’hymen a été enlevé », révèle le CNDH.

Saisie de l’affaire, la présidente de la Commission régionale des droits de l’Homme (CRDH) de Dabou et ses officières aux Droits de l’Homme, se rendent immédiatement sur les lieux. Interrogé, la petite K.A.G.E affirme que son répétiteur lui aurait introduit ses doigts.

La CRDH use alors de tact pour identifier le présumé auteur et averti la gendarmerie qui, aussitôt arrivé sur les lieux, l’interpelle. Déféré à la Maison d’arrêt de correction de Dabou le mardi 5 octobre 2021, le présumé violeur patiente derrière les barreaux en attendant d’être situé sur son sort. De son côté, la CRDH reste toujours mobilisée pour que la lumière soit faite sur cette affaire.

Que dit la ivoirienne sur le sujet

En Côte d’Ivoire, l’article 354 du Code pénal énonce que le viol est puni d’un emprisonnement de 5 à 20 ans. La peine est celle de l’emprisonnement à vie si l’auteur : 1º est aidé dans son crime par une ou plusieurs personnes ; 2º est le père ou un ascendant de la victime ou une personne ayant autorité sur elle, s’il est chargé de son éducation, de sa formation intellectuelle ou professionnelle. L’article 354 du Code pénal ajoute que l’emprisonnement à vie s’applique également si la victime est mineure de 15 ans.

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