Le gouvernement israélien a donné son feu vert à un accord, mercredi, pour la libération de 50 otages détenus par le Hamas.

Cet accord prévoit un échange de prisonniers palestiniens et une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza. Cela marque un moment de répit après des semaines de conflit intense.

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Après des pertes importantes, avec plus de 14 000 décès du côté palestinien et une bande de Gaza dévastée, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a salué la décision comme étant la bonne.

Selon les termes de l’accord, au moins 50 personnes, dont des femmes et des enfants, seront libérées au cours des quatre prochains jours, pendant lesquels une accalmie des combats est prévue.

Les réactions internationales

Les autorités du Qatar, qui ont joué un rôle central dans les pourparlers de trêve, ont confirmé l’accord pour une « pause humanitaire » dans la bande de Gaza.

Cette pause, d’une durée initiale de quatre jours, pourrait être prolongée. Les États-Unis s’attendent à la libération de plus de 50 otages, dont trois ressortissantes américaines, dans le cadre de cet accord.

Le président américain Joe Biden s’est déclaré « extraordinairement satisfait », et la Russie a également salué l’accord.

Les futures implications de cet accord

Un haut responsable du Hamas a indiqué que le premier échange de 10 otages contre 30 prisonniers pourrait avoir lieu dès jeudi, avec la possibilité de prolonger la trêve.

Cependant, il est important de noter que cet accord de trêve ne marque pas la fin de la guerre dans la bande de Gaza, selon le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, qui a exprimé la volonté de reprendre les opérations à « pleine force » après la pause.

Le gouvernement israélien a confirmé qu’il continuerait la guerre pour ramener toutes les personnes enlevées, éliminer le Hamas et assurer qu’aucune menace ne subsiste pour l’État d’Israël depuis Gaza. Le Hamas a averti que ses forces resteraient vigilantes malgré la trêve.

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Rappelons que les organisations internationales et de nombreuses capitales étrangères multiplient les appels à un cessez-le-feu face à la situation humanitaire catastrophique dans la bande de Gaza.

Les dégâts importants causés aux quartiers, au système de santé et les déplacements massifs de population suscitent une préoccupation mondiale.