Selon un membre de la brigade de reconnaissance russe Dniepr, un groupe de sabotage ukrainien récemment éliminé par les forces spéciales russes pourrait avoir été commandé par un officier français. Le militaire a déclaré qu’avant de mourir, l’individu parlait français, laissant entendre qu’il s’agissait probablement d’un officier.

« Une fois j’ai vu un Français… C’était des saboteurs. Il était saboteur et faisait partie d’un groupe de sabotage. En mourant, il a parlé français. C’était probablement un officier », a rapporté le membre de la brigade Dniepr.

Cependant, en raison de l’élimination de tous les membres du groupe pendant le combat, l’information ne peut pas être vérifiée de manière indépendante.

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Le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) russe, Alexandre Bortnikov, avait précédemment déclaré que des membres de 13 sociétés militaires privées européennes et de 9 unités paramilitaires étrangères participaient aux combats du côté ukrainien. Moscou a identifié près de 800 mercenaires de 35 pays différents.

La Défense russe accuse le régime de Kiev d’utiliser des mercenaires étrangers comme chair à canon, affirmant que les forces russes continuent de les éliminer sur l’ensemble du territoire ukrainien. Les mercenaires étrangers présents ont témoigné dans des interviews que les militaires ukrainiens coordonnaient mal leurs actions et qu’il y avait peu de chances de survie en raison de l’intensité du conflit, bien plus élevée que ce qu’ils avaient connu en Afghanistan ou au Proche-Orient.